CAC40 : solide gain hebdo (+3,6%) attribué à la BoJ et la FED
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23/09/2016 | 18:36
Le CAC40 (-0,5% à 4.488Pts) a oscillé durant plus de 8 heures de part et d'autre d'un seuil pivot de 4.485Pts pour clôturer juste au-dessus et verrouiller un gain hebdomadaire de +3,6%.
Le 'pullback' technique s'avère modeste après la forte hausse de +2,3%, observée la veille, les volumes sont particulièrement peu étoffés puisque le cap des 1,9MdsE a été atteint à 17H29 et le volume ne dépasse pas 2,6MdsE en clôture.
Chez nos voisins, les indices sont tous orientés à la baisse mais terminent en ordre dispersé, avec Londres quasi stable, Francfort -0,45%, Milan -1,1% et Madrid -1,2%: l'Euro STOXX 50 lâche 0,65% à 3.032, soit un gain hebdo de +3,3%.
Wall Street a rouvert comme prévu en léger repli mais les scores se sont rapidement figés autour de -0,25 à -0,3% en moyenne, le Nasdaq n'inscrit pas de 3ème record absolu mais engrange quand même +1,5% sur la semaine.
A noter la flambée de Twitter de +20% dont la capitalisation explose vers 15Mds$ (Salesforce et Google pourraient faire une offre de rachat imminente).
'Les investisseurs ont désormais une bonne idée des intentions de la Réserve fédérale américaine et de la Banque du Japon et tout le monde en profite pour souffler un peu, sachant que la semaine qui vient ne sera pas trop chargée', explique un intervenant.
Sur le front des statistiques, l'indice 'flash' PMI composite de Markit concernant d'activité dans la zone euro a de nouveau ralenti en septembre pour s'établir à 52,6 points, contre 52,9 points en août (contre 52,8 anticipé).
En France en revanche, l'indice flash 'composite' rebondit à 53,3 contre 51,9, l'indice des 'services' grimpe à 54,1 contre 52,3 (+ haut depuis 15 mois), ce qui compense la déception d'un PIB révisé à -0,1% au T2 et d'une croissance annuelle abaissée de +1,4 à +1,3%.
Aux Etats Unis, les chiffres semblent donner raison à Janet Yellen (qui se veut prudente face à des signaux économiques contrastés): l'indice PMI manufacturier s'est replié à 51,4 ce mois-ci, contre 52 en août, ce qui laissé Wall Street de marbre.
A noter que les annonces de la Bank of Japan s'avèrent sans effet bénéfique sur le Yen qui continue de gagner du terrain face au $ et à l'Euro.
Les membres de l'OPEP et de la Russie se réuniront mercredi prochain à Alger, un événement qui pourrait déboucher sur un éventuel gel de la production d'après les spécialistes... mais aucun compromis n'est encore conclu en Arabie Saoudite et Iran, cela se traduit par une rechute de -2,5% du baril sous 45$, ce qui risque de peser sur Wall Street d'ici la clôture.
Du côté des valeurs, Renault et Peugeot (-1,8% et -1,5%) pèsent sur le CAC.
Au sein du SBF-120, Faurecia ferme la marche avec -3%; seul Genfit (+2,5%) se distingue à la hausse, la 'biotech' ayant intégré de nouveaux médicaments candidats à son portefeuille de projets.
Mercialys n'est pas très loin derrière (+2%) à la faveur d'un relèvement de recommandation des analystes de Société Générale.
Côté baisse, EDF (-1,7%) poursuit sa baisse de la veille due à un avertissement tandis que Veolia cède 1,5% alors que la Caisse des Dépôts et consignations (CDC) est en train de diviser par deux sa participation au tour de table du groupe.
Le 'pullback' technique s'avère modeste après la forte hausse de +2,3%, observée la veille, les volumes sont particulièrement peu étoffés puisque le cap des 1,9MdsE a été atteint à 17H29 et le volume ne dépasse pas 2,6MdsE en clôture.
Chez nos voisins, les indices sont tous orientés à la baisse mais terminent en ordre dispersé, avec Londres quasi stable, Francfort -0,45%, Milan -1,1% et Madrid -1,2%: l'Euro STOXX 50 lâche 0,65% à 3.032, soit un gain hebdo de +3,3%.
Wall Street a rouvert comme prévu en léger repli mais les scores se sont rapidement figés autour de -0,25 à -0,3% en moyenne, le Nasdaq n'inscrit pas de 3ème record absolu mais engrange quand même +1,5% sur la semaine.
A noter la flambée de Twitter de +20% dont la capitalisation explose vers 15Mds$ (Salesforce et Google pourraient faire une offre de rachat imminente).
'Les investisseurs ont désormais une bonne idée des intentions de la Réserve fédérale américaine et de la Banque du Japon et tout le monde en profite pour souffler un peu, sachant que la semaine qui vient ne sera pas trop chargée', explique un intervenant.
Sur le front des statistiques, l'indice 'flash' PMI composite de Markit concernant d'activité dans la zone euro a de nouveau ralenti en septembre pour s'établir à 52,6 points, contre 52,9 points en août (contre 52,8 anticipé).
En France en revanche, l'indice flash 'composite' rebondit à 53,3 contre 51,9, l'indice des 'services' grimpe à 54,1 contre 52,3 (+ haut depuis 15 mois), ce qui compense la déception d'un PIB révisé à -0,1% au T2 et d'une croissance annuelle abaissée de +1,4 à +1,3%.
Aux Etats Unis, les chiffres semblent donner raison à Janet Yellen (qui se veut prudente face à des signaux économiques contrastés): l'indice PMI manufacturier s'est replié à 51,4 ce mois-ci, contre 52 en août, ce qui laissé Wall Street de marbre.
A noter que les annonces de la Bank of Japan s'avèrent sans effet bénéfique sur le Yen qui continue de gagner du terrain face au $ et à l'Euro.
Les membres de l'OPEP et de la Russie se réuniront mercredi prochain à Alger, un événement qui pourrait déboucher sur un éventuel gel de la production d'après les spécialistes... mais aucun compromis n'est encore conclu en Arabie Saoudite et Iran, cela se traduit par une rechute de -2,5% du baril sous 45$, ce qui risque de peser sur Wall Street d'ici la clôture.
Du côté des valeurs, Renault et Peugeot (-1,8% et -1,5%) pèsent sur le CAC.
Au sein du SBF-120, Faurecia ferme la marche avec -3%; seul Genfit (+2,5%) se distingue à la hausse, la 'biotech' ayant intégré de nouveaux médicaments candidats à son portefeuille de projets.
Mercialys n'est pas très loin derrière (+2%) à la faveur d'un relèvement de recommandation des analystes de Société Générale.
Côté baisse, EDF (-1,7%) poursuit sa baisse de la veille due à un avertissement tandis que Veolia cède 1,5% alors que la Caisse des Dépôts et consignations (CDC) est en train de diviser par deux sa participation au tour de table du groupe.
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