Bourse de Paris : Les Bourses européennes clôturent en hausse
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01/07/2016 | 18:10
Les Bourses européennes ont fini en hausse vendredi, continuant de regagner le terrain perdu après le vote britannique en faveur de la rupture avec l'Union européenne, grâce notamment aux promesses de soutiens des banques centrales.
À Paris, le CAC 40 a terminé sur une progression de 0,86% (+36,48 points) à 4.273,96 points. Le Footsie britannique a progressé de 1,13% et le Dax allemand s'est adjugé 0,99%, tandis que l'indice EuroStoxx 50 avançait de 0,64% et le FTSEurofirst 300 de 0,74%.
Sur la semaine, le CAC 40 affiche un bond de 4,07% et le FTSEurofirst 300 une progression de 3,42%.
Au moment de la clôture en Europe, Wall Street affichait une hausse plus modérée, la prudence freinant le marché américain avant un week-end de trois jours. Le Dow Jones gagnait 0,18% et le Nasdaq 0,47%, après l'annonce d'une hausse nettement plus marquée qu'attendu de l'indice ISM d'activité du secteur manufacturier.
En Europe, tous les grands secteurs de la cote ont fini dans le vert, avec en tête l'automobile (+3,48%), les ressources de base (+1,92%) et les transports et loisirs (+1,93%), favorisés entre autres par la baisse du dollar.
Parmi les valeurs automobiles, qui avaient particulièrement souffert du résultat du référendum britannique, Peugeot a pris 6,7%, Faurecia 6,87% et Volkswagen 4,94%, la meilleure performance de l'EuroStoxx 50.
Plus largement, les actions profitent de la perspective d'un prochain assouplissement des politiques monétaires de la BoE et de la Banque centrale européenne (BCE).
Sur le marché des changes, le dollar recule face au yen comme face à l'euro revenu à plus de 1,1140 dollar.
Le rendement des emprunts d'Etat à 10 ans américain est parallèlement retombé à son plus bas historique à 1,381% et le 30 ans a touché, à 2,189%, son plus bas niveau depuis les années 1950.
"La spéculation sur la possibilité que la BCE ajuste son programme d'assouplissement quantitatif est un élément qui est reçu très favorablement par les marchés obligataires", commente Christian Lenk, responsable de stratégie de DZ Bank. "Cela signifierait que les émetteurs qui ont un encours de dette important, comme l'Italie, en bénéficieraient."
Le pétrole, lui, est reparti à la hausse, bénéficiant de la faiblesse du dollar et de la reprise des achats après les prises de profit habituelles de fin de trimestre.
Sur la semaine, le CAC 40 affiche un bond de 4,07% et le FTSEurofirst 300 une progression de 3,42%.
Au moment de la clôture en Europe, Wall Street affichait une hausse plus modérée, la prudence freinant le marché américain avant un week-end de trois jours. Le Dow Jones gagnait 0,18% et le Nasdaq 0,47%, après l'annonce d'une hausse nettement plus marquée qu'attendu de l'indice ISM d'activité du secteur manufacturier.
En Europe, tous les grands secteurs de la cote ont fini dans le vert, avec en tête l'automobile (+3,48%), les ressources de base (+1,92%) et les transports et loisirs (+1,93%), favorisés entre autres par la baisse du dollar.
Parmi les valeurs automobiles, qui avaient particulièrement souffert du résultat du référendum britannique, Peugeot a pris 6,7%, Faurecia 6,87% et Volkswagen 4,94%, la meilleure performance de l'EuroStoxx 50.
Plus largement, les actions profitent de la perspective d'un prochain assouplissement des politiques monétaires de la BoE et de la Banque centrale européenne (BCE).
Sur le marché des changes, le dollar recule face au yen comme face à l'euro revenu à plus de 1,1140 dollar.
Le rendement des emprunts d'Etat à 10 ans américain est parallèlement retombé à son plus bas historique à 1,381% et le 30 ans a touché, à 2,189%, son plus bas niveau depuis les années 1950.
"La spéculation sur la possibilité que la BCE ajuste son programme d'assouplissement quantitatif est un élément qui est reçu très favorablement par les marchés obligataires", commente Christian Lenk, responsable de stratégie de DZ Bank. "Cela signifierait que les émetteurs qui ont un encours de dette important, comme l'Italie, en bénéficieraient."
Le pétrole, lui, est reparti à la hausse, bénéficiant de la faiblesse du dollar et de la reprise des achats après les prises de profit habituelles de fin de trimestre.
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