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jeudi 28 mars 2019

€ 2CRSI

2CRSI : Oddo BHF apprécie une 'valorisation attractive'


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28/03/2019 | 10:24

L'analyste Oddo BHF réaffirme ce jour son opinion 'achat' sur le titre 2CRSI, mettant en avant, dans sa note et malgré l'impact des pénuries de composants, une 'hyper-croissance rentable' confirmée et une valorisation attractive.

'En 2019, le groupe semble bien engagé pour réaliser au moins 100 ME de CA (110 MEe) avec une marge d'EBITDA qui devrait continuer de bénéficier d'un levier opérationnel significatif et de la montée en puissance des services (10.5%e soit +110 pb), ce qui implique un quasi doublement de l'EBITDA. Sur la base de nos prévisions, le titre se traite 8.4x l'EBITDA 19e et 4.4x 2020e, soit un niveau de valorisation particulièrement attractif au regard de la croissance et du positionnement du groupe', apprécie Oddo BHF.

De fait, le broker réaffirme son objectif de cours de 11,80 euros. Celui-ci laisse entrevoir un potentiel de hausse de l'ordre de 23%.

mardi 26 mars 2019

EKINOPS

Ekinops poursuit ses discussions avec Nokia pour acheter ASN

ActionsIl y a 10 minutes (26/03/2019 19:40)
 

© Reuters. EKINOPS POURSUIT SES DISCUSSIONS AVEC NOKIA POUR ACHETER ASN© Reuters. EKINOPS POURSUIT SES DISCUSSIONS AVEC NOKIA POUR ACHETER ASN
PARIS (Reuters) - Ekinops a annoncé mardi que les discussions se poursuivaient avec Nokia (HE:NOKIA) sur un éventuel rachat par la société française d'Alcatel Submarine Networks (ASN), l'activité de câbles sous-marins de l'équipementier télécoms finlandais.
Ekinops avait annoncé le 18 octobre 2018 avoir entamé des discussions préliminaires avec Nokia concernant une éventuelle acquisition d’ASN.
"Depuis cette date, la société continue à étudier la possibilité de rapprocher les deux entreprises et discute des termes de cette transaction avec Nokia Corporation", précise le groupe dans un communiqué, à l'occasion de la publication de ses résultats annuels, ajoutant qu'à ce jour, aucun accord n'a été conclu.
Les bons résultats 2018 attestent de la pertinence de la stratégie d'Ekinops, et le rapprochement entre ASN et Ekinops marquerait une nouvelle étape importante dans le développement du groupe", ajoute le groupe.
Fin 2018, Le groupe disposait d’une trésorerie nette de 14,2 millions d'euros et de 74,4 millions de capitaux propres

Après quatre séances consécutives de baisse, les acheteurs semblent avoir retrouvé un peu de motivation et le CAC40 progresse de +1%, à 5.310.

1)  5330...2) 5380..on cible  5400 sauf éléments imprévisibles  (brexit. petrole)

lundi 25 mars 2019

CAC40

CAC40 : séance de convalescence quasi linéaire, IFO rebondit


25/03/2019 | 18:21

Le CAC40 (-0,18%) na cessé d'osciller ce lundi autour de 5.260 (la clôture reflète parfaitement le comportement du marché aujourd'hui), le DAX affiche le même repli, Milan -0,1%... et l'Euro-Stoxx50 en constitue le fidèle reflet avec -0,16% à 3.300,5Pts.

D'un point de vue technique, le 'coup de massue' de vendredi a fait voler en éclats le support court terme des 5.300 points, une alerte sérieuse -pas levée ce lundi- qui efface d'un coup 10 jours de progression.

Ce signal de retournement majeur se dégraderait encore davantage en cas d'enfoncement des 5230 points, l'ex-plancher du 8 mars, et une correction plus appuyée s'enclencherait sous les 5.200 points, préviennent les chartistes.
A l'image des places européennes, Wall Street peine à se remettre de l'impact de la grosse secousse de vendredi (-2% à -2,5%) mais au moins, la décrue semble enrayée.
Repli symbolique du Dow Jones (-0,1%), repli marginal du Nasdaq et du S&P500 (-0,2%), les esprits se calment un peu.
C'est plutôt rassurant après la chute de -3% de Tokyo ce matin, qui a vu le Nikkei effacer d'un coup tous ses gains depuis la mi-février.

Les opérateurs se montrent prudents avant un possible nouveau vote des parlementaires britanniques sur le Brexit dans les jours à venir... mais d'autres scénarios plus ou moins inattendus pourraient rebattre les cartes, voir complexifier encore la situation.

Dans l'idéal -auquel personne ne croit- la Chambre des communes validerait le projet d'accord trouvé par Theresa May et le Brexit serait effectif à compter du 22 mai.

'Le nouveau calendrier qui a été établi va donner à May suffisamment de temps pour un troisième vote en début de semaine', rappelle Liberum.

'Dans le cas contraire, il faudrait trouver une solution alternative d'ici au 12 avril', souligne le bureau de recherche londonien.

Douchés par les 'PMI' vendredi (indicateurs avancés d'activité), les investisseurs suivent désormais avec une attention toute particulière les données économiques 'macro'.

L'indice Ifo (institut économique basé à Munich) du climat des affaires en Allemagne a agréablement surpris avec une progression de 98,7 vers 99,6 en mars, alors que le consensus n'attendait qu'une stabilité pour le mois en cours.

Plusieurs statistiques de premier plan (PIB, consommation des ménages...) sont également attendues Outre-Atlantique... mais rien au programme ce lundi.

Les opérateurs devront également composer avec un nouveau ' round ' de négociations commerciales entre les Etats-Unis et la Chine organisé à pékin.
Côté changes, l'Euro finit peu changé à 1,1315/$, soit +0,1%, le pétrole 'Brent' grappille +0,3% à 67,3$.

Du coté des valeurs, Carrefour rechute de -2,6%, sous le support des 16,9E, Lourdeur du secteur auto : Renault lâche -2% et Peugeot -2,9%.
Victime d'un 'gros doigt' en début de séance, LVMH est repassé de -8% à l'ouverture à +1,3% à 317,7E, terminant leader du CAC40.

Sanofi (-0,5%) indique que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a publié une lettre de réponse complète (CRL) au sujet de la demande d'autorisation de nouveau médicament concernant le médicament expérimental Zynquista (sotagliflozine). Par cette communication, l'autorité sanitaire américaine signifie au géant pharmaceutique et à son partenaire Lexicon que leur dossier ne peut être approuvé en l'état.

Moody's Investors Service a fait part vendredi soir d'une dégradation de sa note d'émetteur long terme sur Valeo, passant de 'Baa2' à 'Baa3', avec toutefois une perspective relevée à 'stable' contre 'négative' précédemment.

UBS réaffirme sa recommandation 'achat' sur Rexel malgré un objectif de cours abaissé de 18 à 13,4 euros, impliquant un potentiel de progression de 27% pour le titre du groupe de distribution de matériel électrique.

Au sein du SBF-120, Vallourec ferme la marche avec une rechute d'environ -6%, après avoir rétrogradé un peu au-dessus des 2,00E.

$ FTEK

Fuel Tech, Inc. (FTEK): This provider of boiler optimization, efficiency improvement, and air pollution reduction and control solutions has a Zacks Rank #1 (Strong Buy) and witnessed the Zacks Consensus Estimate for its current year earnings increasing more than 100% over the last 60 days.

dimanche 24 mars 2019

BONJOUR A TOUTES/TOUS

Puente Nuevo (Pont Neuf) à Ronda, Espagne

Ronda est une ville merveilleuse de la région d'Andalousieau sud de l'Espagne. Construite durant des millénaires aux sommets des collines du canyon El Tajo, la ville est reliée par trois ponts, le plus récent étant le Puente Nuevo ou « Pont Neuf » à juste titre. Il a fallu 34 ans pour construire ce pont et ce dernier a été achevé la fin du 18e siècle. Des colonnes géantes, semblant avoir été sculptées dans la roche environnante, s'étendent 120 mètres au-dessus du gouffre du fleuve Guadalevín. Cela confère une ambiance mythique au paysage, convenant à un endroit inhabité depuis l'ère néolithique, puis occupé par les Celtes, les Phéniciens, les Romains, les Maures, les Wisigoths, les Espagnols et autres qui aimaient apparemment également la vue.

vendredi 22 mars 2019

BONDS EUROPE

Bonds Europe: la prudence pousse la dette allemande en territoire négatif


 
 
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22/03/2019 | 19:07

Paris (awp/afp) - Pour la première fois depuis octobre 2016, le taux d'emprunt à dix ans de l'Allemagne est passé en territoire négatif vendredi tandis que la courbe des taux américains s'est inversée, signes d'une prudence accrue des investisseurs, à défaut d'une récession imminente.

"Nous avons observé un gros mouvement sur les courbes de taux européennes" ce vendredi avec une baisse très prononcée des taux d'emprunt à long terme, a commenté auprès de l'AFP Geoffroy Lenoir, responsable des taux souverains en euros pour Aviva Investors.

Le taux d'emprunt à 10 ans de l'Allemagne a ainsi fini à -0,015% contre 0,041% jeudi à la clôture du marché secondaire, où s'échange la dette déjà émise. Celui de la France a terminé à 0,354% contre 0,403% la veille.

Et la correction a été tout aussi brutale sur les marchés actions, qui ont dévissé de 2% en moyenne à Paris et Londres tandis que la baisse était un peu moins prononcée à Berlin (-1,61%) et côté américain.

"Nous sommes dans un contexte où l'aversion au risque" est assez forte, ce qui induit "un report vers les actifs" les plus sûrs, au premier rang desquels les obligations d'Etat, a ajouté M. Lenoir.

"Nous nous rapprochons de l'échéance du Brexit et la croissance ne donne pas forcément de signe très positif", autant de facteurs négatifs qui s'ajoutent aux révisions à la baisse des perspectives conjoncturelle par la Réserve fédérale américaine (Fed) cette semaine, après celle de la Banque centrale européenne (BCE) début mars, indique encore le spécialiste.

Des inquiétudes reflétées également par le marché obligataire américain où, vers 13H50 GMT, le taux d'intérêt de la dette à trois mois (2,455%) est passé au-dessus du rendement de celle à 10 ans (2,447%), au plus bas depuis janvier 2018, une inversion considérée comme une forme d'anomalie du marché puisque, traditionnellement, plus l'investissement se fait sur une durée longue, plus le rendement servi est élevé.

"Sur la courbe américaine, le mouvement a été beaucoup plus violent que ce qu'on a vu après les annonces de la Fed", a observé Antoine Lesné, responsable stratégie et recherche de SPDR ETF (filiale de State Street Global Advisors).

Même si l'inversion de la courbe des taux a précédé de quelques trimestres la quasi-totalité des récessions américaines ces dernières décennies, "je ne pense pas que ce soit un signal immédiat qu'une récession approche", relève Justin Federer, stratégiste obligataire pour Cantor Fitzgerald.

"Seuil psychologique"

D'autant que ce phénomène "n'est pas le seul signal à surveiller". Au même titre "les demandes d'allocations chômage, l'activité manufacturière ou encore la production industrielle", il constitue "un facteur parmi d'autres" pouvant annoncer une récession, souligne Kathy Jones, responsable des produits à taux fixe pour la maison de courtage Charles Schwab.

Pour M. Lesné, ce n'est "en général pas un très bon signe en terme de cycle" économique mais "il faut voir si c'est un élément technique qui va se résorber ou quelque chose amené à durer un peu plus longtemps".

Ce mouvement de détente obligataire "assez massif", qui a vu les rendements obligataires allemands et français tomber vendredi au plus bas depuis octobre 2016, plaçant même le Bund en territoire négatif, est d'abord imputable à "des indices PMI qui ont été assez décevants, surtout sur les composantes manufacturières", pour M. Lenoir.

L'indice PMI pour le secteur manufacturier allemand s'est inscrit à 44,7 en mars, moindre qu'anticipé et surtout inférieur à 50, ce qui signifie que l'activité diminue.

Dans la zone euro, le PMI pour l'ensemble du secteur privé a reculé à 51,3 points en mars, également sous les attentes, tandis qu'il a atteint 48,7 points pour la France.

"Le glissement du rendement du Bund allemand en dessous de zéro aujourd'hui est un facteur contribuant à l'inversion de la courbe des rendements" puisqu'il "fait baisser les rendements à long terme partout dans le monde", explique Mme Jones.

"C'est toujours un seuil psychologique important de passer en dessous de zéro" mais une "bonne partie de la dette allemande est déjà en territoire négatif", relativise toutefois M. Lenoir.

Du côté des pays les moins solides de la zone euro, à l'instar de l'Italie ou de l'Espagne, les écarts de taux avec l'Allemagne et la France se sont creusés.

"Il y avait jusqu'à présent une espèce d'antinomie entre le marché obligataire et le marché actions", avance M. Lesné, or "cette différence de lecture ne peut pas durer éternellement et il y a un moment où l'un des deux doit céder".