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lundi 22 juillet 2019
BIA Separations Selected for Manufacturing Process Development Support for Gene Therapy Pipeline | Business Wire
BIA Separations Selected for Manufacturing Process Development Support for Gene Therapy Pipeline | Business Wire: BIA Separations, a leading biochromatography development and manufacturing company, today announced it is collaborating with AveXis, a Novartis compan
la bourse et toutes ses actions tous pays
jeudi 18 juillet 2019
CAC40.......La menace
CAC40 : menace la base du corridor 5.552/5620, baril -2,75%
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18/07/2019 | 18:25
Le CAC40 (-0,38%) en termine au contact des 5.550, c'est à dire au contact du bas de la fourchette 5.552/5.620 au sein de laquelle le CAC40 est emprisonné depuis 14 séances.
Il aurait été étonnant qu'il en ressorte 'par le bas' à la veille de la séance des '3 sorcières' alors les 7 précédentes semaines écoulées furent 'bullish'.
Et pourtant, le CAC40 a trébuché ce jeudi matin, corrigeant jusque sur 5.533 (-0,7%)... mais une 'rumeur' a provoqué un spectaculaire rebond de +50Pts en une demi-heure (jusque vers 5.585).
Selon Bloomberg News, des membres de la Banque centrale européenne auraient commencé à plancher sur une révision de l'objectif d'inflation.
Le débat porterait sur la possibilité de tolérer une croissance des prix à la consommation dépassant l'objectif des 2% durant quelques temps.
Cela permettrait à la BCE de se montrer 'plus accommodante' et plus longtemps (même si l'inflation dépasse les 2%).
Malgré ce facteur très positif pour les marchés, l'E-Stoxx50, plombé par le léger recul de Wall Street, chute de -0,55% à 3.583, dans le silage de Francfort avec -0,9%.
Après 2H30 de cotations, Wall Street accentue un peu ses pertes: le Dow Jones et le Nasdaq cèdent -0,4%, le S&P500 -0,2%.
L'un des 'faits' du jour, c'est la chute de -2,75% du pétrole vers 55,2$ sur le NYMEX (cela pourrait faire pencher la balance côté baisse d'ici ce soir).
Le marché obligataire reste euphorique : le Bund se détend vers -0,312% et nos OAT affichent jusqu'à -0,067% (contre -0,038% mercredi soir
Globalement, les investisseurs restent inquiets des tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine après une série de tweets de Donald Trump dans menaçant de surtaxer les produits chinois qui ne le sont pas encore.
'On voit que les marchés boursiers font l'objet de dégagements partout dans le monde et que les opérateurs préfèrent se tourner vers des valeurs sûres, comme l'obligataire', commente Kyle Rodda, analyste chez IG.
'La dynamique s'explique aussi par le démarrage relativement terne de la saison des résultats aux Etats-Unis', estime le professionnel.
Il est vrai que les premières publications ont mis en lumière la fragilité de certaines entreprises dans le contexte actuel de ralentissement de la croissance mondiale.
Netflix a par exemple fait état hier soir d'un nombre de nouveaux abonnés pratiquement inférieur de moitié par rapport aux attentes à l'international (2,7 millions contre cinq attendus).
Aujourd'hui, c'est Morgan Stanley qui a dévoilé ses comptes. La banque d'affaires a fait état, au titre de son deuxième trimestre 2019, d'une baisse de 9% de son résultat net, lequel s'affiche à 2,201 milliards de dollars. Les revenus s'affichent à 10,244 milliards de dollars.
Au niveau des statistiques, les signaux sont très contradictoires: l'indice des indicateurs avancés recule de -0,3% (consensus : stable) alors que le 'Philly Fed' (baromètre de l'activité de la Fed de Philadelphie) grimpe à +21,8 sur le mois en cours, contre +0,3 au mois précédent. Par comparaison, le consensus des économistes ne visait une remontée de l'indice que vers +5 en juillet.
Enfin, le Département américain du Travail annonce avoir dénombré 216.000 nouveaux inscrits aux allocations chômage la semaine dernière, contre 208.000 la semaine précédente (chiffre révisé de 209.000 annoncé initialement).
Hier, Wall Street avait vu ses pertes s'alourdir suite à la parution du 'Livre Beige' de la Fed.
Dans sa feuille de route pour les six prochains mois, l'institution semble en effet exclure toute réduction brutale de 50 points de base de ses taux, un motif de déception pour les marchés.
A moins que les tensions commerciales entre Washington et Pékin s'aggravent encore, auquel cas la banque centrale américaine pourrait être contrainte d'envoyer un signal fort aux marchés.
Du coté des valeurs, Alstom annonce qu'au cours de son premier trimestre 2019/20 (du 1er avril au 30 juin), il a vu ses commandes chuter de 39% à 1,6 milliard d'euros, mais son chiffre d'affaires a augmenté de 2% à 2,1 milliards (+1% à périmètre et taux de change constants).
EssilorLuxottica (+1,9%) confirme mener des discussions en vue d'acquérir la participation de 76,72% détenue par HAL Holding dans le capital de GrandVision, groupe néerlandais spécialisé dans la distribution de produits optiques.
Le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) a donné son agrément pour l'acquisition de la chaîne Gulli par le Groupe M6. ' Toutes les conditions suspensives sont à présent levées pour l'acquisition du pôle Télévision du Groupe Lagardère (hors Mezzo), par le Groupe M6 ' indique le groupe.
Publicis a encore abaissé ses prévisions et objectifs après la clôture: à surveiller demain matin.
Il aurait été étonnant qu'il en ressorte 'par le bas' à la veille de la séance des '3 sorcières' alors les 7 précédentes semaines écoulées furent 'bullish'.
Et pourtant, le CAC40 a trébuché ce jeudi matin, corrigeant jusque sur 5.533 (-0,7%)... mais une 'rumeur' a provoqué un spectaculaire rebond de +50Pts en une demi-heure (jusque vers 5.585).
Selon Bloomberg News, des membres de la Banque centrale européenne auraient commencé à plancher sur une révision de l'objectif d'inflation.
Le débat porterait sur la possibilité de tolérer une croissance des prix à la consommation dépassant l'objectif des 2% durant quelques temps.
Cela permettrait à la BCE de se montrer 'plus accommodante' et plus longtemps (même si l'inflation dépasse les 2%).
Malgré ce facteur très positif pour les marchés, l'E-Stoxx50, plombé par le léger recul de Wall Street, chute de -0,55% à 3.583, dans le silage de Francfort avec -0,9%.
Après 2H30 de cotations, Wall Street accentue un peu ses pertes: le Dow Jones et le Nasdaq cèdent -0,4%, le S&P500 -0,2%.
L'un des 'faits' du jour, c'est la chute de -2,75% du pétrole vers 55,2$ sur le NYMEX (cela pourrait faire pencher la balance côté baisse d'ici ce soir).
Le marché obligataire reste euphorique : le Bund se détend vers -0,312% et nos OAT affichent jusqu'à -0,067% (contre -0,038% mercredi soir
Globalement, les investisseurs restent inquiets des tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine après une série de tweets de Donald Trump dans menaçant de surtaxer les produits chinois qui ne le sont pas encore.
'On voit que les marchés boursiers font l'objet de dégagements partout dans le monde et que les opérateurs préfèrent se tourner vers des valeurs sûres, comme l'obligataire', commente Kyle Rodda, analyste chez IG.
'La dynamique s'explique aussi par le démarrage relativement terne de la saison des résultats aux Etats-Unis', estime le professionnel.
Il est vrai que les premières publications ont mis en lumière la fragilité de certaines entreprises dans le contexte actuel de ralentissement de la croissance mondiale.
Netflix a par exemple fait état hier soir d'un nombre de nouveaux abonnés pratiquement inférieur de moitié par rapport aux attentes à l'international (2,7 millions contre cinq attendus).
Aujourd'hui, c'est Morgan Stanley qui a dévoilé ses comptes. La banque d'affaires a fait état, au titre de son deuxième trimestre 2019, d'une baisse de 9% de son résultat net, lequel s'affiche à 2,201 milliards de dollars. Les revenus s'affichent à 10,244 milliards de dollars.
Au niveau des statistiques, les signaux sont très contradictoires: l'indice des indicateurs avancés recule de -0,3% (consensus : stable) alors que le 'Philly Fed' (baromètre de l'activité de la Fed de Philadelphie) grimpe à +21,8 sur le mois en cours, contre +0,3 au mois précédent. Par comparaison, le consensus des économistes ne visait une remontée de l'indice que vers +5 en juillet.
Enfin, le Département américain du Travail annonce avoir dénombré 216.000 nouveaux inscrits aux allocations chômage la semaine dernière, contre 208.000 la semaine précédente (chiffre révisé de 209.000 annoncé initialement).
Hier, Wall Street avait vu ses pertes s'alourdir suite à la parution du 'Livre Beige' de la Fed.
Dans sa feuille de route pour les six prochains mois, l'institution semble en effet exclure toute réduction brutale de 50 points de base de ses taux, un motif de déception pour les marchés.
A moins que les tensions commerciales entre Washington et Pékin s'aggravent encore, auquel cas la banque centrale américaine pourrait être contrainte d'envoyer un signal fort aux marchés.
Du coté des valeurs, Alstom annonce qu'au cours de son premier trimestre 2019/20 (du 1er avril au 30 juin), il a vu ses commandes chuter de 39% à 1,6 milliard d'euros, mais son chiffre d'affaires a augmenté de 2% à 2,1 milliards (+1% à périmètre et taux de change constants).
EssilorLuxottica (+1,9%) confirme mener des discussions en vue d'acquérir la participation de 76,72% détenue par HAL Holding dans le capital de GrandVision, groupe néerlandais spécialisé dans la distribution de produits optiques.
Le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) a donné son agrément pour l'acquisition de la chaîne Gulli par le Groupe M6. ' Toutes les conditions suspensives sont à présent levées pour l'acquisition du pôle Télévision du Groupe Lagardère (hors Mezzo), par le Groupe M6 ' indique le groupe.
Publicis a encore abaissé ses prévisions et objectifs après la clôture: à surveiller demain matin.
la bourse et toutes ses actions tous pays
mercredi 17 juillet 2019
DAX.....DIRECTION 12600 EN EXTENTION
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mardi 16 juillet 2019
GALAPAGOS.....A SUIVRE
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lundi 15 juillet 2019
UBISOFT
15/07/2019 | 10:19
Ubisoft (+1,81% à 74,44 euros) est soutenu par Jefferies, qui a relevé sa recommandation de Conserver à Acheter, avec un objectif de cours relevé de 75 euros à 85 euros. Il correspond à un PER 2021 de 21, à mi-chemin entre Activision-Blizzard (le tout puissant mal-aimé) et Take-Two (l'usine à blockbuster de qualité très apprécié) et à une prime de 10% par rapport aux trois acteurs américains (dont Electronic Arts).
Cette valorisation prend en compte les perspectives de croissance d'Ubisoft (contre un repli pour ses pairs américains) et sa capacité à faire croitre ses bénéfices plus rapidement alors qu'il rattrape son retard dans le digital, plus rentable
Cette valorisation prend en compte les perspectives de croissance d'Ubisoft (contre un repli pour ses pairs américains) et sa capacité à faire croitre ses bénéfices plus rapidement alors qu'il rattrape son retard dans le digital, plus rentable
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GALAPAGOS..AVERTI LE07/07/19...la hausse en avant 07/07/2019
Galapagos : "un accord royal" avec Gilead
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15/07/2019 | 09:42
Galapagos a perdu sa prime spéculative mais gagné des lettres de noblesse. Le titre s'envole de 18% en séance après la signature d'un bel accord de développement avec Gilead, qui pourrait lui apporter jusqu'à 5,1 milliards de dollars. De quoi renforcer le financement des projets de la biotech, pendant que l'Américain, déjà actionnaire, s'est engagé sur une longue durée à ne pas prendre le contrôle. La capitalisation de la société belge avoisine désormais 7 milliards d'euros.
Le nouvel accord signé entre les deux partenaires de longue date passe par le versement immédiat de 3,95 milliards de dollars de Gilead à Galapagos. L'Américain va aussi acheter des actions à 140,59 EUR pièce pour passer de 12,3 à 22% du capital, ce qui permettra d'injecter l'équivalent de 1,1 milliard de dollars additionnels. Ces investissements lui permettent de s'offrir l'exclusivité de la totalité du pipeline de Galapagos hors d'Europe pour les programmes en cours et ceux qui viendront à être développés. L'accord permet à Gilead de monter à 29,9% mais pas au-delà. "Je note que le statu quo de 10 ans va probablement garantir l'indépendance de Galapagos jusqu'en 2029 et qu'il fait disparaître la très attendue acquisition par Gilead, qui a longtemps soutenu le titre", souligne Peter Welford, de Jefferies. La réaction positive du marché ce matin montre que les perspectives de l'accord outrepassent la déception de l'absence d'OPA.
"Tout bien considéré, c'est un accord royal pour Galapagos", commente pour sa part Lenny van Steenhuyse, chez KBC Securities. Pour l'analyste, le laboratoire va bénéficier à la fois des synergies avec Gilead et de la possibilité de croître en Europe. Il reste acheteur avec un objectif relevé de 128 à 145 EUR.
"Tout bien considéré, c'est un accord royal pour Galapagos", commente pour sa part Lenny van Steenhuyse, chez KBC Securities. Pour l'analyste, le laboratoire va bénéficier à la fois des synergies avec Gilead et de la possibilité de croître en Europe. Il reste acheteur avec un objectif relevé de 128 à 145 EUR.
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dimanche 14 juillet 2019
EN DIRECT DES MARCHES
EN DIRECT DES MARCHES : Renault, Altran, Casino, Vivendi, Facebook, AB Inbev, Galapagos...
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15/07/2019 | 08:34
Il y a des points de tension sur le marché : entre Elliott et Capgemini, entre l'empire Casino et ses créanciers, entre Vivendi et Mediaset, entre Facebook et les régulateurs. En Belgique, le roi de la bière AB Inbev panse ses plaies après le cuisant échec de son IPO asiatique, mais la star des biotechs Galapagos brille. Les déboires de Boeing sur le B737MAX pourraient durer jusqu'au début 2020, tandis que le Salon automobile de Francfort a du souci à se faire.
Renault coopère avec la justice. Le constructeur a, sur réquisition du Parquet de Nanterre, transmis le rapport final du cabinet Mazars sur Renault Nissan BV. Le constructeur français avait révélé dès le mois d'avril qu'un audit interne tendait à démontrer une gestion pour le moins laxiste de cette entité, avec notamment 11 millions d'euros de dépenses potentiellement indues. Renault collabore à cette enquête, collatérale à la mise en cause de Carlos Ghosn.
Difficile pour PSA. Les ventes mondiales de PSA ont reculé de -12,8% au 1er semestre, à 1,9 million d'unités, avec un net reflux pour Peugeot (-23,7%) et Citroën (-6,4%), mais une bonne tenue pour Opel (-0,67%) et une légère hausse pour DS (1,46%). L'Europe tient (+0,27%) mais le reste du monde s'effondre, avec notamment -60,6% en Chine et en Asie du Sud-Est ou -29,3% en Amérique Latine.
Elliott se frotte à Capgemini. Il faut garder un œil sur le rachat amical d'Altran par Capgemini après que le fonds activiste Elliott a pris des positions via des swaps sur Altran, avec pour intention initiale de ne pas forcément apporter à l'offre, sans que ses motivations actuelles ne soient très claires. On se souvient qu'Elliott avait déjà compliqué la tâche de l'américain XPO lors du rachat de Norbert Dentressangle. Le fonds est d'ailleurs toujours présent à hauteur de 9% de la filiale européenne XPO Logistics, que la maison-mère n'a pu retirer de la cote pour cette raison.
Les nantis du Casino. Les holdings de Casino (Rallye, Foncière Euris, Finatis) ont annoncé des opérations de financement garanties par des nantissements sur des titres de leurs filiales en cascade, à la suite de quoi le distributeur a tenu à préciser que ces opérations "n'ont aucun impact sur le contrôle exercé par Rallye et ses holdings sur Casino" et qu'une perte du contrôle de Casino par Rallye "n'aurait aucun impact juridique sur la dette de Casino et ne constituerait pas un cas de défaut". De quoi compliquer encore, un peu plus, la structure de détention du distributeur.
Vivendi marque un point ? La loi italienne qui a contraint Vivendi à renoncer à la plus grande partie de ses droits de vote dans Mediaset "pourrait ne pas être conforme aux règles européennes", selon un avis de la Commission européenne consulté par Reuters. À ce stade, il ne s'agit que d'un avis consultatif, qui, s'il était confirmé, pourrait compliquer les projets de la famille Berlusconi de créer un holding aux Pays-Bas. C'est à la Cour de Justice de l'UE de trancher désormais.
En bref en France. L'Oréal muscle son comité exécutif avec l'arrivée de trois directeurs généraux issus des divisions ESR, Chine et Travel Retail. LafargeHolcim rachète le cimentier roumain Somaco. Eiffage et l'Aéroport Marseille-Provence deviennent concessionnaires de l'aéroport de Lille-Lesquin. Les discussions avec les créanciers et d'autres financiers se poursuivent pour Europacorp. Safe Orthopaedics réalise ses premières interventions chirurgicales avec SteriSpine PS au Japon Sogeclair boucle son augmentation de capital. Daletrachète l'activité flex media platform d’ooyala. HF Company, Acteos, Covivio Hotels et Egide ont publié leurs comptes.
Pouce levé. Facebook paiera 5 milliards de dollars aux autorités américaines pour ses errements en matière de protection des données personnelles de ses utilisateurs…une punition jugée relativement clémente par le marché au regard de l'évolution du cours de bourse. Reste à connaître les conditions du règlement amiable trouvé entre la société et les autorités, qui devraient entraîner des obligations plus strictes à l'encontre du réseau social.
La star européenne des biotechs. Gilead a signé un gros accord de développement avec Galapagos, d'un montant de 5,1 milliards de dollars, entraînant notamment une montée de l'Américain de 12,3 à 22% de la biotech belge, voire 29,9% après levée d'une option. Une transaction qui, paradoxalement, "sécurise l'indépendance de Galapagos pour la prochaine décennie", selon Jefferies, et lui fournit les ressources nécessaires pour accélérer ses développements. Le bureau d'études considère que la prime payée sur l'opération est une véritable reconnaissance pour le pipeline de la société de biotechnologie, même si la clause de statu quo de 10 ans supprime un parfum spéculatif au dossier.
Gueule de bois. Anheuser-Busch Inbev a renoncé à l'entrée en bourse de sa filiale asiatique, faute de conditions suffisamment propices. Ce cuisant échec pour la filiale Budweiser Brewing prive en outre le groupe d'une levée de fonds de 8,3 à 9,8 milliards de dollars. Pour Edward Mundy, qui suit le dossier chez Jefferies, cette annulation réduit de 3 ou 4 EUR sa valorisation par la somme des parties du dossier, ralentit le rythme de désendettement et retarde, sans toutefois l'éliminer, la prochaine acquisition. Le "plan B", la croissance organique, n'est pas inintéressant mais pas aussi séduisant que le projet de base. Il reste par conséquent à sousperformance avec une valorisation de 63 EUR par action.
Retour en 2020 pour le B737MAX ? Le retour en exploitation du B737Max pourrait n'intervenir qu'en 2020, selon plusieurs rumeurs, même si Boeing vise toujours 2019. Le Wall Street Journal, dont les sources semblent haut placées à la FAA, parle de janvier 2020 pour un retour en vol. American Airlines et United Airlines avaient fait savoir vendredi qu'elles n'anticipaient pas une ré-exploitation avant novembre prochain.
Hallali à Francfort. Le principal Salon Automobile allemand est en train de dépérir. L'édition de septembre s'annonce terrible, avec une liste d'absent colossale : Toyota, General Motors, Renault Nissan Mitsubishi, Peugeot (sauf Opel), Fiat Chrysler, Ferrari, Tesla, Volvo… et d'autres encore ne se rendront pas à Francfort.
En bref ailleurs. Les salariés de sept centres Amazon.com en Allemagne ont lancé hier une grève pour ce lundi, jour de promotion "Prime Day" du géant américain. Quatre investisseurs, dont Atlantia, se proposent d'appuyer Ferroviere dello Stato pour reprendra Alitalia. Huawei va supprimer des centaines d'emplois aux Etats-Unis, a appris le Wall Street Journal, après sa mise au ban par l'administration Trump, qui devrait toutefois commencer à autoriser des entreprises américaines à commercer au cas par cas avec le Chinois dans deux semaines, aux dernières rumeurs.
Ça publie. Citigroup, Galp Energia, J B Hunt, Axfood ou Poxel.
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