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jeudi 14 avril 2022

SUCRE OR...en forme

 

Alimentaires: Matières premières: l'aluminium plombé, le sucre et l'or en forme

14/04/2022 | 16:15
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Londres (awp/afp) - Le prix de l'or a augmenté, dopé par les inquiétudes des investisseurs concernant l'Ukraine et par l'inflation, au fil d'une semaine écourtée par le week-end pascal.

L'once d'or a atteint mercredi 1.981,59 dollars, un niveau plus vu depuis plus d'un mois.

"L'or profite de son statut de valeur refuge avec la perspective d'un long conflit en Ukraine", commente Stephen Innes, analyste de SPI AM.

La Russie a menacé mercredi de frapper des centres de commandement à Kiev, accusant l'Ukraine d'attaques contre son territoire, tandis que les États-Unis ont annoncé la fourniture d'équipements militaires lourds aux Ukrainiens.

Dans le même temps, l'ONU a estimé qu'un "cessez-le-feu général" à des fins humanitaires ne semblait "pas possible actuellement", les Nations unies attendant toujours des réponses de Moscou à des propositions concrètes en vue de l'évacuation de civils.

Le marché aurifère profitait également d'une inflation galopante aux États-Unis (+8,5% sur un an en mars, un plus haut depuis décembre 1981).

Cependant, cet appétit pour l'or ne se traduisait pas par une baisse des valeurs boursières, pourtant considérées comme des actifs plus risqués, souligne Jeffrey Halley, analyste à Oanda.

"Soit les Bourses vont s'effondrer, soit ce sera l'or", commente-t-il.

Vers 14H00 GMT (16H00 à Paris), l'or s'échangeait pour 1.963,04 dollars l'once, contre 1.947,54 dollars en fin d'échanges le vendredi précédent.

L'aluminium se ternit

Les cours de l'aluminium étaient en recul cette semaine à la Bourse des métaux de Londres, reflétant la baisse du coût de l'énergie, et plombés par l'effritement de la demande venant de Chine, premier consommateur de métaux industriels.

L'aluminium "a perdu tous les gains qu'il avait accumulés depuis le début de la guerre en Ukraine le 24 février", souligne Daniel Briesemann, analyste de Commerzbank.

Un phénomène qu'il attribue "à la baisse des prix de l'énergie, qui fait que les coûts de production des fonderies ne sont plus aussi élevés", car "l'énergie représente environ 40% du coût total de production de l'aluminium", assure l'analyste.

Les prix du pétrole comme ceux du gaz naturel ont en effet largement dévissés de leurs commets pluriannuels, atteints le 7 mars dernier. Les deux références du brut se négocient toutefois encore au-dessus de la barre symbolique des 100 dollars le baril.

La "multiplication des cas de Covid-19 en Chine (...) suscite des inquiétudes quant à la demande dans le pays qui est de loin le premier consommateur de métaux au monde", ajoute Daniel Briesemann.

Le pays impose des confinements très stricts en raison de la résurgence de contaminations, qui pénalisent lourdement l'activité économique dans la région de Shanghai.

Les baisses de prix ne sont cependant pas "significatives", affirme-t-il, car "les mesures d'endiguement en Chine ne touchent pas seulement la demande, mais aussi l'offre, ce qui signifie que leurs impacts sur les prix des métaux s'annulent en grande partie".

Sur le London Metal Exchange (LME), la tonne d'aluminium pour livraison dans trois mois s'échangeait à 3.271,00 dollars vers 14H00 GMT (16H00 à Paris), contre 3.374,50 dollars le vendredi précédent à la clôture.

Le sucre en forme

Les prix du sucre ont grimpés sur la semaine, jusqu'à atteindre un record de plus de cinq ans à Londres et de plus de sept mois à New York, avant de redescendre de leurs sommets.

Jeudi à Londres, le prix du sucre blanc a culminé à 558,00 dollars la tonne, un sommet plus vu depuis février 2017. La livre de sucre brut à New York a quant à elle atteint les 20,46 cents mercredi, un plus haut depuis septembre 2021.

Les prix du pétrole ont "stimulé la demande d'éthanol et incité les transformateurs de canne à sucre à produire plus de carburant et moins de sucre", expliquent les analystes de Société Générale dans une note.

Un prix élevé du pétrole incite les producteurs à transformer une partie de leur récolte en éthanol, ce qui réduit la quantité de sucre sur le marché et faire monter les cours. Les deux références du brut s'échangent toujours au dessus des 100 dollars le baril.

Par ailleurs, "au Brésil, premier producteur mondial, la monnaie nationale a bondi à son plus haut niveau depuis mars 2020, ce qui a incité les agriculteurs à garder leurs stocks sous clé au lieu de les vendre en dollars américains à un prix moins intéressant", ajoutent les analystes de Société Générale.

A New York, la livre de sucre brut pour livraison en juillet prochain valait 20,11 cents, contre 20,27 cents six jours auparavant.

A Londres, la tonne de sucre blanc pour livraison en août valait 553,50 dollars contre 551,50 dollars le vendredi précédent à la clôture.

emb-js/LyS

lundi 11 avril 2022

Les faillites s'envolent🚀

 

La Tribune
Les faillites d'entreprises s'envolent en France : +34,6% au premier trimestre

dimanche 10 avril 2022

Avis d'analystes du jour

 

Avis d'analystes du jour : Société Générale, Nexans, Richemont, Adevinta, Unicredit, WPP...

11/04/2022 | 08:44
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Chaque matin, retrouvez avant l'ouverture des marchés européens une sélection de recommandations d'analystes couvrant les principaux marchés du vieux continent. La liste comprend uniquement des sociétés qui ont fait l'objet d'une modification d'avis ou d'objectif de cours, ou d'un nouveau suivi. Elle est susceptible d'être mise à jour au cours de la séance. Ces informations permettent d'éclairer les mouvements de certaines actions ou le sentiment de marché sur une société.

  • Adevinta : Goldman Sachs passe de neutre à achat en visant 118,50 NOK.
  • A.G. Barr : Berenberg passe de conserver à acheter en visant 660 GBp.
  • Aixtron : Exane BNP Paribas passe de neutre à surperformance en visant 30 EUR.
  • Banco Santander : Jefferies reste à l'achat avec un objectif de cours relevé de 3,80 à 4 EUR.
  • Compagnie Financière Richemont : Jefferies démarre le suivi à l'achat en visant 140 CHF.
  • Deutsche Börse : Jefferies reste à l'achat avec un objectif de cours relevé de 180 à 192 EUR.
  • Encavis : Barclays passe de surpondérer à pondération en ligne en visant 19 EUR.
  • John Wood : Jefferies passe de sous performance à conserver en visant 150 GBp.
  • London Stock Exchange : Jefferies reste à l'achat avec un objectif de cours relevé de 8500 à 9800 GBp.
  • Nexans : Crédit Suisse passe de neutre à sousperformance.
  • ProSieben : Goldman Sachs passe d'achat à neutre en visant 13,10 EUR.
  • RTL : Goldman Sachs passe d'achat à neutre en visant 60,74 EUR.
  • Schibsted : Goldman Sachs passe de neutre à achat en visant 326,90 SEK.
  • Société Générale : JP Morgan réduit son objectif de cours de 32 à 29 EUR.
  • Ströer : Goldman Sachs passe de neutre à vendre en visant 62,10 EUR.
  • Unicredit : Berenberg reste à l'achat avec un objectif de cours réduit de 17 à 12,50 EUR.
  • WPP : Goldman Sachs passe d'acheter à neutre en visant 1235 GBp.

vendredi 8 avril 2022

CAC 40

 Publié à l'origine sur la Bourse au quotidien.fr

Vigilance sur le CAC40, cette semaine ! L’indice montre, en effet, les premiers signes d’un squeeze… À quoi correspond cette formation ? En quoi est-elle dangereuse ? Gilles Leclerc vous explique tout !

Cette semaine, la situation se corse : le CAC40 est entré entre dans une formation dite de squeeze – un signal que les adeptes des bandes de Bollinger connaissent bien. Si vous n’êtes pas habitué à ce genre de configuration, laissez-moi vous en résumer les principaux aspects…

Qu’est-ce qu’un squeeze ?
Un squeeze indique que la volatilité a baissé jusqu’à atteindre un niveau minimal. Les raisons de cette baisse de volatilité peuvent varier, mais généralement, elle se produit quand le marché est en attente d’une nouvelle importante dont il sait qu’elle va venir fortement impacter les cours. Ou encore (et ce sont les plus dangereuses) quand, pour une raison ou une autre, les acheteurs et les vendeurs ont de vues – et donc des stratégies – opposées. Ils s’affrontent alors dans une espèce de bras de fer jusqu’à ce que l’une des deux parties cède et que le gagnant puisse reprendre la main. Auquel cas, on observe généralement de forts volumes d’échange pendant le « bras de fer ». Ce qui n’est pas le cas, en ce moment (au contraire).

L’hypothèse à privilégier est donc qu’en ce moment, les opérateurs sont en position d’attente. Dans l’attente de quoi ? Difficile à dire. Sans doute de nouvelles (ou d’espoirs) en provenance du conflit ukrainien ? Mais plus probablement (à mon humble avis) parce que la semaine prochaine, les premières salves de publication de résultats du premier trimestre 2022 vont commencer à tomber aux Etats-Unis. Avec en première ligne, les banques qui vont ouvrir le bal.

Et c’est là que ça se complique…

Les résultats risquent d’être bons, voire supérieurs aux attentes. Par contre, comme à chaque publication de résultats, les dirigeants doivent dévoiler quelles sont leurs prévisions pour le reste de l’année.

C’est bien là le problème : le trio inflation galopante, durcissement des politiques monétaires de la Fed et hausse des taux (pour ne citer qu’eux) forme un cocktail au goût franchement amer. Il va falloir voir comment le marché y réagit. Je souhaite bonne chance aux dirigeants qui vont devoir se prêter à cet exercice. Mais ça risque d’être compliqué de tenir un optimisme béat, dans ces conditions.

Bref, retour à notre squeeze et aux implications que cela implique au niveau trading.

Attention, le squeeze est une configuration piégeuse
Un autre principe que connaissent bien les adeptes de Bollinger : une faible volatilité appelle une forte volatilité et une forte volatilité appelle une faible volatilité.

En clair et en décodé, cela signifie qu’après une accélération (forte volatilité), le marché se calme, passe par une phase de baisse de la volatilité. Quand le marché est calme (faible volatilité), avant justement des attentes concernant des publications ou des nouvelles susceptibles de changer la donne, il ne faut surtout pas s’y fier, c’est une espèce d’accalmie avant que le vent ne se remette à souffler (et généralement assez fort).

Autre conséquence : quand la volatilité baisse, les vagues d’impulsion – à la hausse ou à la baisse – sont de faible amplitude. Une chose à retenir quand on détecte un squeeze : les indicateurs techniques deviennent pratiquement inutiles, voire dangereux à utiliser. Les « vaguelettes » à l’intérieur du squeeze sont susceptibles de se retourner un coup à la hausse, un coup à la baisse pendant que les cours lambinent dans le squeeze.

Dernière chose : les squeeze sont extrêmement piégeux. Ils tentent souvent une fausse sortie en allant titiller une bande de Bollinger, avant de se retourner pour accélérer en sens inverse et de sortir en accélération du côté opposé.

Moralité : ne cherchez jamais à anticiper le sens de la sortie d’un squeeze. Temporisez (comme le font d’ailleurs les opérateurs du marché). Attendez que la « news » tant attendue soit publiée. Et suivez dans le sens que le marché décidera de prendre. Préparez-vous à une accélération. Placez un stop de l’autre côté de la bande de volatilité du squeeze. Et croisez les doigts.

J’ai un peu (beaucoup et intentionnellement) simplifié quelques règles et aspects des formations en squeeze, mais en résumé, vous avez l’idée de ce quoi est fait un squeeze.

Et le CAC, dans tout ça ?
Maintenant, pour rester cohérent avec les points hebdomadaires de ces dernières semaines, je vous propose une mise à jour de la vue 2 heures.

CAC40 : entrée en squeeze
CAC40 : entrée en squeeze

Les bandes de volatilité sont l’enveloppe grisée. Ce sont des bandes de Bollinger 100 périodes, écart-type 2. Pourquoi prendre 100 périodes (au lieu des 20 périodes habituellement utilisées) ? Parce qu’en prenant 100 périodes sur une vue 2 heures, vous pouvez immédiatement visualiser les bornes de volatilité, c’est-à-dire les bornes de prix dans lesquelles les cours peuvent bouger sur une vue journalière (5 X 20 = 100).

Et le squeeze dans tout ça ?

Un squeeze apparaît quand la volatilité tombe sous des niveaux les plus faibles constatés sur 150 périodes. Ils s’affichent automatiquement sur mes graphes – ce sont les petits indicateurs rouges qui viennent tout juste de s’allumer et qui entourent les bandes de volatilité. Ils viennent à peine de se manifester (petites pastilles jaunes), donc le squeeze est probable et attention, comme vous l’avez compris, ça risque de « swinguer » dans les jours à venir, sans que l’on ne puisse savoir exactement dans quelle direction.

Ceci dit, comme il faut tenir une position de trading, je vais simplement rester sur celles de la semaine dernière.

Pour rappel :

« Bref, à court terme, les conclusions de la semaine dernière sont confirmées et restent pour le moment identique à celles de la semaine précédente (résistance zone 6 800 / 6 850 points, tant que la zone des 6 400 points tient, pas d’alerte pour le moment). »
Constat a posteriori : soit dit en passant, dans les jours suivants, le CAC a fait un plus haut à 6 829 points (cf. flèche orange sur mon graphique).

« Tant que l’on reste entre ces deux bornes, le CAC ne pourra pas mettre en place une réelle tendance autre que sur des unités de temps courtes. »
Le CAC s’est approché des 6 400 points en clôture, hier soir. Ce sera le niveau à suivre dans les heures à venir.

En attendant les premières publications des bancaires la semaine prochaine et tant que l’on reste dans ce squeeze, j’éviterai soigneusement de prendre des positions supplémentaires.

Que la Force soit avec vous,

Bon week-end,

Gilles,

Endirect des marchés

 

EN DIRECT DES MARCHES : Crédit Agricole, Alstom, Stellantis, CNP Assurances, Atlantia, HP, Nestlé...

08/04/2022 | 08:34
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Tous les matins, l'équipe Zonebourse recense et synthétise les informations marquantes concernant les sociétés cotées dans le monde, pour disposer des principales actualités dès le début de la journée boursière. Le contenu comprend une partie sur la France et l'autre sur les principaux marchés internationaux, en particulier les entreprises américaines et celles de grands marchés européens (Royaume-Uni, Allemagne, Suisse, Italie, Espagne) et d'Asie-Pacifique.

En France

Annonces importantes (et moins importantes)

Dans le monde

Annonces importantes (et autres)

  • La famille Benetton a rejeté une offre de rachat de ses parts dans Atlantia émanent de Global Infrastructure Partners et Brookfield. Edizione et Blackstone pourraient lancer une offre sur Atlantia à 24 EUR par action, aux dernières rumeurs.
  • HP Inc clôture en hausse de 14,75% après l'investissement de Berkshire Hathaway.
  • Spirit Airlines va entamer des négociations avec JetBlue après une offre de 3,6 Mds$, car elles dépasse celle de Frontier Group.
  • Telecom Italia refuse pour le moment d'ouvrir ses comptes à KKR.
  • Toshiba gèle son projet de scission et va étudier la possibilité d'être racheté.
  • Nestlé rejette les critiques sur la décision de poursuivre l'approvisionnement en produits essentiels en Russie.
  • Le conseil d'administration d'Eni propose un nouveau programme de rachat de 1,2 Md$.
  • Le conseil d'administration d'Holcim fait peau neuve.
  • AB Volvo estime à 4 MdsSEK l'impact de la Russie sur ses opérations au T1.
  • Amazon doit faire face à un vote des actionnaires sur le traitement des travailleurs des entrepôts.
  • Tencent Holdings a annoncé que sa branche de streaming de jeux vidéo Penguin Esports cessera ses activités début juin, dans un contexte réglementaire chinois alourdi.
  • Genmab étudie ses options dans le litige sur la licence du Daratumumab après que le tribunal ait statué en faveur de Janssen.
  • Lonza et Asher Biotherapeutics coopèrent dans l'immunothérapie.
  • Les actionnaires de SIG Combibloc approuvent le changement de nom en SIG.
  • Principales publications de résultats : Taiwan SemiconductorEMS-ChemieOMVICA Gruppen… Tout l'agenda ici.

Lectures

Avis d'analystes

 

Avis d'analystes du jour : Crédit Agricole, Alstom, Eurofins, Rémy Cointreau, Alfen, Sika, Grifols...

08/04/2022 | 08:29
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Chaque matin, retrouvez avant l'ouverture des marchés européens une sélection de recommandations d'analystes couvrant les principaux marchés du vieux continent. La liste comprend uniquement des sociétés qui ont fait l'objet d'une modification d'avis ou d'objectif de cours, ou d'un nouveau suivi. Elle est susceptible d'être mise à jour au cours de la séance. Ces informations permettent d'éclairer les mouvements de certaines actions ou le sentiment de marché sur une société.

  • Alfen : Jefferies démarre le suivi à conserver en visant 95 EUR.
  • Alstom : Citigroup réduit son objectif de cours de 47 à 42 EUR.
  • BASF : Baader Helvea passe d'acheter à accumuler en visant 60 EUR.
  • BNP Paribas : Jefferies reste à l'achat avec un objectif de cours réduit de 77 à 67 EUR.
  • Covestro : Baader Helvea passe d'acheter à accumuler en visant 53 EUR.
  • Crédit Agricole : Jefferies passe d'acheter à conserver en visant 11,20 EUR.
  • CTS Eventim : Berenberg passe de conserver à acheter en visant 80 EUR.
  • EMS-Chemie : Baader Helvea reste à accumuler avec un objectif réduit de 987 à 950 CHF.
  • Eurofins Scientific : HSBC passe d'alléger à conserver en visant 92 EUR.
  • Evonik : Baader Helvea reste à accumuler avec un objectif de cours réduit de 33 à 29 EUR.
  • Fuchs Petrolub : Baader Helvea passe d'acheter à accumuler en visant 40 EUR.
  • Galp Energia : Morgan Stanley passe de pondération en ligne à souspondérer en visant 12,20 EUR.
  • Grifols : Morgan Stanley reprend le suivi à pondération en ligne en visant 20 EUR.
  • Intertek : HSBC passe d'acheter à conserver en visant 5700 GBp.
  • Jenoptik : Berenberg reste à l'achat avec un objectif réduit de 44 à 35 EUR.
  • K+S : Baader Helvea passe d'acheter à accumuler en visant 33 EUR. J.P. Morgan passe de neutre à surpondérer en visant 44,50 EUR.
  • Lanxess : Baader Helvea passe d'acheter à accumuler en visant 69 EUR.
  • Moncler : Barclays passe de pondération en ligne à surpondérer en visant 60 EUR.
  • Mondi : Morgan Stanley passe de surpondérer à pondération en ligne en visant 1500 GBp.
  • Rémy Cointreau : Jefferies reste à conserver avec un objectif relevé de 185 à 195 EUR.
  • SGS : HSBC passe d'acheter à conserver en visant 2860 CHF.
  • Sika : Baader Helvea passe d'acheter à accumuler en visant 3.65 CHF.
  • Société Générale : Jefferies passe d'acheter à conserver en visant 25 EUR.
  • Sodexo : RBC passe de performance sectorielle à surperformance en visant 83 EUR.
  • Sonova : AlphaValue reste à alléger avec un objectif relevé de 380 à 422 CHF.

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