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vendredi 26 juin 2015

VALEUR CLOTURE BOURSE DE PARIS

Bourse de Paris : Les valeurs suivies à la clôture de la Bourse de Paris


26/06/2015 | 18:25
LA CLÔTURE DE LA BOURSE DE PARIS

Les valeurs du jour vendredi à la Bourse de Paris, qui a fini en hausse une nouvelle séance volatile, marquée une fois de plus par les évolutions du dossier grec avant une réunion samedi des ministres des Finances de la zone euro sur la Grèce.


L'indice CAC 40 a gagné 0,35% à 5.059,17 points, portant à 5,06% son gain sur l'ensemble de la semaine:

* Le SECTEUR TÉLÉCOMS est resté au centre des attentions après qu'ALTICE (+1,14%), la maison mère de NUMERICABLE-SFR (-0,37% à 50,83 euros), a défendu point par point les termes de son offre sur Bouygues Télécom, assurant qu'elle restait sur la table en dépit de son rejet deux jours plus tôt par BOUYGUES (-1,01% à 34,80 euros).
ILIAD a abandonné 1,85% à 206,50 euros.

* Le SECTEUR IMMOBILIER européen s'est octroyé 0,89%. Dans une étude sectorielle, Natixis se dit positif sur le secteur immobilier, qu'il voit surperformer, estimant que les taux devraient rester bas et soulignant l'amélioration de la visibilité sur les revenus locatifs.
UNIBAIL-RODAMCO s'est adjugé 1,75% à 239 euros, plus forte hausse du CAC 40, et KLEPIERRE 2,57% à 40,745 euros.

* Le SECTEUR AUTOMOBILE a été recherché alors que des analystes jugent exagérées les inquiétudes ayant animé le marché dernièrement sur les difficultés en Chine.
VALEO a progressé de 1,65% à 147,55 euros, PSA de 1,44% à 19,34 euros et RENAULT de 0,73% à 98,11 euros.

* ALCATEL-LUCENT a grimpé de 1,16% à 3,477 euros. Un stratégiste a souligné l'amélioration attendue des résultats du groupe et estime que cette tendance n'est pas prise en compte dans les cours actuels.

* Les BANQUES de la zone euro (+0,8%) ont gagné du terrain dans le sillage des établissements grecs (+7,5%).
BNP PARIBAS a pris 1,05% à 57,63 euros, SOCIETE GENERALE 0,73% à 44,455 euros et CREDIT AGRICOLE 0,46% à 14,135 euros.

* En revanche, ACCOR a fini en baisse de 1,22% à 47,68 euros, plus forte baisse du CAC 40, la valeur restant enfermée sur le plan graphique dans un canal baissier et butant sur une résistance vers 48 euros.

* Le SECTEUR européen de l'ENERGIE a perdu 0,47% dans le sillage des cours du pétrole (-0,2% pour le baril de brut vers 18h00, pénalisés par l'attentisme des investisseurs sur les négociations à venir sur le nucléaire iranien.
TECHNIP s'est replié 1,21% à 57 euros. Hors CAC, CGG (-2,57% à 5,336 euros) a accusé la plus forte baisse du SBF 120 et VALLOUREC a lâché 1,28% à 18,54 euros.

* Les VALEURS du secteur des services aux collectivités ("utilities") ont pâti du pessimisme des investisseurs sur leur croissance future et le rendement qu'elles pourraient offrir.
ENGIE (ex-GDF Suez) a reculé de 0,65% à 17,49 euros et EDF de 0,57% à 20,935 euros.

* SOPRA STERIA a lâché 1,92% à 80,60 euros. Société générale a cédé 7,04% du capital de Sopra Steria via sa filiale à 100% Géninfo pour un montant de 110,8 millions.

* EURAZEO a baissé de 1,68% à 62,19 euros après la fixation du prix d'introduction en Bourse d'EUROPCAR dans le bas de la fourchette indicative. Les promesses d'actions d'Europcar ont fini à 12,05 euros, contre un prix d'introduction fixé à 12,25 euros.

* AMPLITUDE SURGICAL a également fait des débuts timides en Bourse sous la forme de promesses d'actions, avec un cours de 5,0 euros, soit celui fixé pour son prix d'introduction, en bas de la fourchette initiale qui avait été fixée entre 5,0 et 8,80 euros.

* ADOCIA (+9,21% à 68,80 euros) a signé la meilleure performance du SBF 120, après l'annonce de résultats positifs d'une étude menée sur un traitement du diabète dont la formulation utilise une technologie propriétaire de la société de biotechnologie.

* SOLOCAL a encore gagné 5,17% à 0,468 euro au lendemain d'un bond de 4,5% alimenté par l'optimisme de Société générale, qui voit un potentiel de hausse important en Bourse pour le spécialiste des annuaires imprimés et numérisés.

* BELVÉDÈRE (+9,03% à 19,08 euros) a figuré vendredi matin parmi les plus fortes hausses du CAC Mid & Small, soutenue par une note d'Exane BNP Paribas dans laquelle le courtier se montre confiant pour le groupe de spiritueux, malgré les tensions internes et le passé de la société.

HOMOSEXUEL

Le mariage homosexuel légalisé partout aux Etats-Unis


Washington - La Cour suprême américaine a légalisé vendredi, dans une décision historique, le mariage homosexuel partout aux Etats-Unis.

La plus haute juridiction du pays a jugé que la Constitution requiert d'un Etat qu'il célèbre et reconnaisse le mariage entre deux personnes de même sexe. 

Seulement deux ans après avoir décrété que le mariage n'était pas réservé aux couples hétérosexuels, la haute Cour a jugé que les 14 Etats américains qui refusent aujourd'hui d'unir deux personnes de même sexe devaient non seulement les marier mais en plus reconnaître leur mariage lorsqu'il a été célébré ailleurs.

Au nom de l'égalité de tous devant la loi, le 14e Amendement requiert d'un Etat qu'il célèbre un mariage entre deux personnes de même sexe, a écrit le juge Anthony Kennedy, s'exprimant au nom de la majorité de la Cour suprême. 

Le droit au mariage est fondamental, a-t-il souligné.

Le juge conservateur a ajouté son vote à celui des quatre juges progressistes de la haute Cour pour permettre aux gays et lesbiennes de se marier aux quatre coins des Etats-Unis.

Le président de la haute Cour, John Roberts, s'y est opposé, ainsi que les trois autres juges conservateurs.

ATTAQUE?

ATTAQUE SIGNALÉE CONTRE UN HÔTEL TOURISTIQUE À SOUSSE EN TUNISIE, PAS DE PRÉCISIONS-RADIO ET SOURCE SÉCURITAIRE


26/06/2015 | 13:28
ATTAQUE SIGNALÉE CONTRE UN HÔTEL TOURISTIQUE À SOUSSE EN TUNISIE, PAS DE PRÉCISIONS-RADIO ET SOURCE SÉCURITAIRE

BELVEDERE

BELVEDERE dopé par Exane


26/06/2015 | 12:01
Belvédère bondit de 11,03% à 19,43 euros soutenu par Exane BNP Paribas. Selon une source de marché, le broker a entamé le suivi du titre avec une opinion Surperformance" et un objectif de cours de 22,50 euros. Selon lui, les entreprises avec un passé agité ne doivent pas nécessairement être méprisées. Le courtier salue le redressement du groupe du spiritueux désormais doté d'un profil de risque plus sur. Il loue également les qualité du nouveau management emmené par le directeur général Jean-Noël Reynaud. Un ancien de Lactalis, Coca-Cola et Rémy Cointreau.


Exane évoque aussi les lourdes tensions au sein de la gouvernance du groupe, certains actionnaires minoritaires voulant empêcher le principal actionnaire, Diana Holdings, de prendre son contrôle. D'après l'analyste, ce conflit n'est pas de nature à faire "dérailler" l'histoire de Belvédère.

Cette étude d'Exane tombe en effet à quelques jours d'un rendez-vous décisif pour Belvédère. Le 30 juin est en effet prévue une assemblée générale qui déterminera sa nouvelle sa gouvernance

Début juin, la société SPC Lux (4,8% du capital), a demandé d'inscrire au menu de cette assemblée une résolution demandant la révocation de trois administrateurs, dont Rita Maria Zniber, PDG de Diana Holdings.

Chez Belvédère : deux camps s'affrontent : les actionnaires minoritaires, dont SPC Lux, contre le concert formé par Diana Holdings (17,31% du capital) et le géant français du négoce Castel (5,66%)

Ce sont ces derniers qui ont mis le feu aux poudres en réclamant la démission de quatre administrateurs indépendants, dont celle du président du conseil, et la constitution d'un nouveau conseil de huit membres comportant quatre représentants du concert.

Avec les droits de vote double dévolus à la présidence du conseil, qui serait assumée par Rita Maria Zniber, PDG de Diana Holdings, le conseil de Belvédère serait de fait contrôlé par le groupe agroalimentaire marocain.

Une situation qui n'est pas acceptable pour les autres actionnaires dont certains se sont attachés les conseils de Colette Neuville. La présidente de l'Association pour la défense des actionnaires minoritaires (Adam) est déterminée à empêcher la famille Zniber de prendre le contrôle du groupe sans en payer le prix.

L'enjeu financier est d'importance. Au bord de la faillite il y encore deux ans, le propriétaire des marques Marie Brizard, William Peel et Sobieski a réduit ses pertes en 2014 et renoué avec la croissance au premier trimestre, récoltant les premiers fruits de son plan stratégique "BIG 2018". A 19,25 euros, le titre affiche un gain de plus de 79% depuis le début de l'année. 

$ PRE-market

Qu'est-ce Déménagement Pre-Market

S & P 500 Gainers & LosersPrixPre-Market 
Variation en%
Volume
CCL Carnival Corp50.74+ 1,40%19530
RIG Transocean Ltd16.13+ 0,81%4800
WMT Wal Mart Stores Inc72.00+ 0,19%150
BAC Bank of America Corp ...17.40+ 0,17%135
PG Procter & Gamble Co79.50+ 0,14%100
EMC EMC Corp27.00-0.15%200

RECOMMANDATIONS DU 26/06/2015

Bourse de Paris : Le point sur les changements de recommandations à Paris


26/06/2015 | 11:21

Voici la liste des principaux changements de recommandations
et/ou d'objectifs de cours enregistrés ce vendredi à Paris.
         (Classement par ordre alphabétique)
    
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     TITRE                    INTERMEDIAIRE        ACTION
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 BELVEDERE                     Exane BNP Paribas   Initiation de couverture 
 Cours de clôture: 17,5 euros                      avec une recommandation à 
                                                   "surperformance". Objectif de 
                                                   cours de 22,5 euros.
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 BOUYGUES                      Citigroup           Recommandation relevée à 
 Cours de clôture: 35,155 euros                    "acheter" contre "neutre". 
                                                   Objectif de cours relevé à 39 
                                                   contre 35 euros.
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 CASINO                        Jefferies           Recommandation à 
 Cours de clôture: 71,01 euros                     "conserver". Objectif de 
                                                   cours réduit à 68 contre 80 
                                                   euros.
 ---------------------------------------------------------------------------------
 SANOFI                        HSBC                Initiation de couverture 
 Cours de clôture: 92,35 euros                     avec une recommandation à 
                                                   "acheter". Objectif de cours 
                                                   de 120 euros.

Grexit

Athènes a cinq jours pour éviter un "Grexit"


26/06/2015 | 11:44
ATHÈNES DISPOSE DE CINQ JOURS POUR ÉVITER UN

Une sortie de la Grèce de la zone euro sera inévitable si Athènes et ses créanciers ne parviennent pas à trouver un accord dans les cinq prochains jours, a estimé vendredi Günther Oettinger, le membre allemand de la Commission européenne.


"Nous allons tout faire jusqu'au 30 juin afin de permettre aux Grecs de montrer qu'ils sont prêts à des réformes", a-t-il déclaré sur la radio allemande Deutschlandfunk.
"Un 'Grexit' n'est pas notre objectif mais il sera inévitable s'il n'y a pas de solution dans les cinq prochains jours."
Les discussions entre la Grèce et ses créanciers ont été interrompues jeudi et les ministres des Finances de la zone euro doivent se réunir de nouveau samedi. Athènes doit rembourser le 30 juin, mardi, 1,6 milliard d'euros au Fonds monétaire international (FMI).
Ce vendredi, le premier ministre grec, Alexis Tsipras, doit s'entretenir avec la chancelière allemande, Angela Merkel, et le président français, François Hollande, a dit un responsable du gouvernement grec.
De son côté, le ministre slovaque des Finances, Peter Kazimir, a déclaré que la réunion de l'Eurogroupe prévue samedi en vue de parvenir à un compromis entre la Grèce et ses créanciers se prolongerait probablement dimanche et qu'elle serait la dernière sur la question.
"Il s'agit vraiment de la dernière réunion sur la question. Nous nous rendons à Bruxelles, soit pour approuver un accord (...) soit, s'il n'y a pas d'accord, pour parler des détails techniques du défaut d'un membre de la zone euro", a-t-il dit.
Alors que les Bourses européennes s'étaient envolées en début de semaine sur des espoirs d'un accord imminent, elles perdaient entre 0,5% et 1% vendredi en fin de matinée au vu des incertitudes entourant l'issue des négociations.
Günther Oettinger a estimé que des progrès notables avaient été accomplis dans les discussions entre Athènes et ses créanciers, avant d'ajouter que des divergences d'opinion persistantes restaient à résoudre.

SITUATION JUGÉE IMPOSSIBLE
Prié de dire si les responsables de la zone euro préparaient un "plan B", il a répondu : "Nous n'avons pas de deuxième plan, nous avons pour objectif de garder la Grèce (dans la zone euro) mais il est clair que si cela n'est pas possible, nous ne serons pas pris de court."
Selon le ministre des Finances grec, Yanis Varoufakis, les demandes des créanciers d'Athènes portant sur une hausse de la TVA et une diminution des retraites placent le pays dans une situation impossible.
"Je suis opposé à une hausse de l'impôt sur les sociétés et encore une fois, je suis opposé à une hausse de la taxation sur les hôtels et contre une réduction des retraites de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté", a-t-il déclaré sur la radio publique irlandaise RTE.
Yanis Varoufakis a rappelé que si la Grèce entendait conserver sa place au sein de la zone euro, elle ne signerait pas un accord qu'il considérerait comme "non viable".
Un accord entre Athènes et ses grands créanciers internationaux (Union européenne, Banque centrale européenne et FMI) est indispensable pour débloquer les 7,2 milliards d'euros restant à verser dans le cadre du plan d'aide prolongé jusqu'au 30 juin et permettre à l'Etat grec de faire face à ses prochaines échéances financières.
Günther Oettinger a déclaré que la BCE et la Commission européenne auraient recours à tous les moyens à leur disposition pour faire en sorte que l'évolution de la situation en Grèce n'affecte pas les autres pays européens.
Ces institutions feraient également tout pour éviter une "situation d'urgence" en Grèce, a encore dit le commissaire européen.
La BCE maintient pour l'instant - mais sans l'augmenter - son aide d'urgence aux banques grecques mais l'incertitude sur l'avenir du pays dans la zone euro et la perspective d'éventuelles mesures de contrôle des capitaux a incité ces dernières semaines les déposants grecs à retirer leurs avoirs des banques.
Selon les statistiques publiées vendredi par la BCE elle-même, les dépôts bancaires grecs sont tombés en mai à leur plus bas niveau depuis près de onze ans. A 135,7 milliards d'euros, ils ont diminué de près de 3,7 milliards en un mois.
"Je suis confiant quant à la volonté de la BCE de soutenir le financement des banques grecques pendant la période de négociation", a dit le ministre grec de l'Economie, Giorgos Stathakis, à La Tribune. "Evidemment, s'il n'y a pas d'accord, ni les Européens, ni les Grecs ne savent de quoi sera fait le jour d'après."