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mercredi 2 décembre 2015

cac40 clôture

Cours de clôture des valeurs du CAC 40


02/12/2015 | 18:40
 
                                Clôture   Variation Variation en % 
  CAC-40 Index                4.905,76      -8,77      -0,18 
 Composants de l'indice: 
  Accor                          41,57      +0,49      +1,19 
  Airbus Group                   67,20      -0,05      -0,07 
  Alcatel-Lucent                  3,86      +0,08      +1,98 
  Alstom                         28,80      -0,28      -0,98 
  ArcelorMittal                   4,21      -0,41      -8,86 
  AXA                            25,49      -0,15      -0,57 
  BNP Paribas                    55,94      -0,34      -0,60 
  Bouygues                       35,57      +0,18      +0,52 
  Capgemini                      87,31      +0,17      +0,20 
  Carrefour                      28,00      -0,26      -0,92 
  Crédit Agricole                11,31      -0,11      -0,96 
  Danone                         65,88      +0,43      +0,66 
  Electricité de France          13,98      -0,09      -0,64 
  Engie                          16,45      -0,11      -0,63 
  Essilor International         122,90      -0,50      -0,41 
  Kering                        160,65      -1,50      -0,93 
  LafargeHolcim                  51,04      +1,31      +2,63 
  L'Oréal                       168,55      +1,50      +0,90 
  LVMH Moët Hennessy            158,45      +1,05      +0,67 
  L'Air Liquide                 108,00      -1,75      -1,59 
  Legrand                        54,90      -0,18      -0,33 
  Michelin                       93,84      -0,34      -0,36 
  Orange                         16,19      +0,11      +0,72 
  Pernod Ricard                 108,85      +0,85      +0,79 
  Peugeot                        16,60      -0,08      -0,51 
  Publicis Groupe                61,24      +0,64      +1,06 
  Renault                        94,79      -0,27      -0,28 
  SAFRAN                         68,00      -0,17      -0,25 
  Compagnie de Saint-Gobain      41,33      +0,20      +0,49 
  Sanofi SA                      83,08      -0,57      -0,68 
  Schneider Electric             57,39      -0,13      -0,23 
  Société Générale               45,13      -0,18      -0,40 
  Solvay                        105,80      -1,60      -1,49 
  Technip                        48,45      -0,73      -1,48 
  Total                          46,65      -0,14      -0,30 
  Unibail-Rodamco               243,50      -1,65      -0,67 
  Valeo                         141,10      -3,80      -2,62 
  Veolia Environnement           22,50      +0,02      +0,09 
  Vinci                          60,99      +0,13      +0,21 
  Vivendi                        20,13      +0,14      +0,70 

MODESTE croissance

Croissance "modeste" aux Etats-Unis, estime la Fed


L'activité économique aux Etats-Unis a poursuivi sa croissance jugée "modeste" dans la plupart des régions, selon le Livre beige de la Réserve fédérale (Fed) publié mercredi. Cet indicateur signale un resserrement du marché de l'emploi dans certaines parties du pays.


Les dépenses de consommation ont continué d'augmenter, particulièrement les ventes automobiles, mais les conditions du secteur manufacturier sont "mitigées", du fait "du dollar fort, des prix bas des matières premières et de la faiblesse de la demande mondiale", indique le rapport.


Dans certaines régions des Etats-Unis, relève la Fed, il devient difficile de pourvoir des emplois, même de premier niveau.


Le Livre beige, qui tient son nom de la couleur de sa couverture, est traditionnellement publié par la banque centrale deux semaines avant une réunion de son comité de politique monétaire. Le comité et la plupart des économistes s'attendent à l'annonce à cette occasion la première hausse des taux d'intérêt depuis près de 10 ans.


Comme dans sa précédente édition, le Livre beige souligne plus d'une vingtaine de fois l'impact du "dollar fort" sur certains secteurs, sur les exportations et dans les ports notamment. Toutefois, dans la plupart des régions, les industriels s'attendent à une "légère amélioration des conditions d'affaires lors des six prochains mois".


Inquiétudes d'Atlanta à San Francisco
Sur le plan de l'inflation, les prix demeurent "stables", malgré quelques baisses, aussi attribuées à la force du billet vert et aux bas prix pétroliers.


Le marché du travail "continue, lui, de se resserrer modestement", indique le rapport qui ajoute que des régions comme Atlanta, Minneapolis, Kansas City et San Francisco ont noté que les difficultés à pourvoir des postes ne s'arrêtaient plus désormais aux emplois hautement qualifiés.


Les salaires sont demeurés stables, voire en modeste hausse. Des augmentations plus fortes étaient relevées pour les postes qualifiés, quoique sur Atlanta, on remarquait aussi des hausses pour les postes requérant peu de qualifications.


Constat optimiste
Plus tôt mercredi, la présidente de la Fed Janet Yellen avait dressé un état relativement optimiste de l'économie des Etats-Unis dans un discours à Washington, anticipant "une croissance modérée" dans les années à venir, suffisante pour générer de nouveaux emplois.


Sans annoncer assurément un relèvement des taux mi-décembre, elle a averti que, vu le "délai" d'efficacité de toute politique monétaire, il ne fallait pas attendre trop longtemps avant de relever les taux sous peine de devoir ensuite "les resserrer plus abruptement" ce qui risquerait d'avoir des répercussions négatives sur les marchés financiers.


La croissance du produit intérieur brut aux Etats-Unis s'est établie à 2,1% au 3e trimestre en rythme annualisé. La majorité des économistes s'attendent à une expansion du même ordre autour de 2,25% au dernier trimestre, a rappelé Mme Yellen.

RUSSIE

La Russie pointe du doigt Erdogan et sa famille dans la contrebande de pétrole de l'EI


Moscou - La Russie a accusé mercredi le président Recep Tayyip Erdogan et sa famille de profiter de la contrebande de pétrole à laquelle se livre l'organisation État islamique (EI) en Syrie.

Ces nouvelles accusations interviennent plus d'une semaine après la destruction par l'aviation turque d'un bombardier russe près de la frontière syrienne, un acte qui a provoqué une crise aiguë entre les deux pays, autrefois partenaires privilégiés.

La diplomatie russe a toutefois esquissé un premier signe de détente en acceptant mercredi l'idée d'une rencontre avec les Turcs dans les prochains jours à Belgrade.

Le principal consommateur de ce pétrole volé à la Syrie et l'Irak, s'avère être la Turquie, a accusé devant plusieurs centaines de journalistes le vice-ministre russe de la Défense, Anatoli Antonov.

La classe dirigeante politique, dont le président Erdogan et sa famille, est impliquée dans ce commerce illégal, a poursuivi M. Antonov.

Le responsable russe a notamment mis en cause le gendre de M. Erdogan, Berat Albayrak, 37 ans, récemment nommé ministre de l'Energie et qui a longtemps dirigé le groupe énergétique Calik Holding, ainsi que l'un des fils du président turc, Bilal, qui possède le groupe BMZ, spécialisé dans les travaux publics et le transport maritime.

M. Erdogan n'a pas tardé à réagir, menaçant Moscou de mesures de représailles si Moscou continuait à propager des calomnies. Il a répété qu'il démissionnerait immédiatement si les accusations russes étaient prouvées.

Vladimir Poutine avait déjà accusé Ankara lundi de protéger les combattants de l'EI et de couvrir ce trafic qui représente l'une des principales sources de financement du groupe jihadiste.

M. Poutine avait même estimé que la décision d'abattre un avion Su-24 russe avait été dictée par la volonté de protéger ces chemins d'acheminement de pétrole vers le territoire turc.

Il avait assuré que l'or noir de l'EI était acheminé massivement, de manière industrielle, vers la Turquie, générant des millions et des milliards de dollars de profit. Ces accusations ont été balayées par M. Erdogan, qui a mis au défi Moscou de prouver ses allégations.

Cette guerre des mots avait semblé se calmer mercredi lorsque le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a annoncé, lors d'une conférence de presse à Nicosie, une rencontre avec son homologue turc Mevlüt Cavusoglu, premier entretien de hauts responsables des deux pays depuis le début de la crise.

Cette rencontre devrait se tenir en marge du conseil des ministres de l'Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE), qui se déroule à Belgrade le 3 et 4 décembre.

Jusqu'à présent, les hauts responsables russes ont refusé tout contact avec leurs homologues turcs. Vladimir Poutine, après avoir refusé de prendre les appels du président turc, l'avait soigneusement évité lors de la COP21 à Paris.

Les autorités russes exigent sans succès des excuses officielles d'Ankara.

La Russie a décrété en représailles à la destruction de son avion une série de sanctions économiques passant notamment par un embargo sur des produits alimentaires venant de Turquie, des restrictions dans le secteur touristique et le rétablissement des visas pour les Turcs.

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PETROLE

USA: hausse hebdomadaire inattendue de 1,2 million de barils des stocks de brut


New York - Les stocks de pétrole brut ont augmenté de façon inattendue la semaine dernière aux Etats-Unis, selon des chiffres publiés mercredi par le département américain de l'Énergie (DoE).

Lors de la semaine achevée le 27 novembre, les réserves commerciales de brut ont progressé de 1,2 million de barils pour atteindre 489,4 millions de barils, alors que les experts interrogés par l'agence Bloomberg avaient tablé sur une baisse de 800.000 barils.

En revanche, l'association professionnelle American Petroleum Institute (API) avait indiqué mardi soir qu'elle estimait que les stocks avaient augmenté de 1,6 million de barils.

Avec une hausse de juste 100.000 barils, les réserves d'essence sont restées en deçà des attentes des analystes de Bloomberg, qui tablaient sur une hausse de 1,55 million de barils, et de l'API, qui avait prédit une progression de 900.000 barils.

Mais les stocks de produits distillés (dont le gazole et le fioul de chauffage) ont surpris par une hausse de 3,1 millions de barils, alors que les experts de Bloomberg prévoyaient une progression de seulement 500.000 barils. L'API avait compté sur une avancée de 2,7 millions de barils.

Vers 15h40 GMT, le cours du baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en janvier accentuait légèrement sa baisse, perdant 86 cents à 40,99 dollars.