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mercredi 16 décembre 2015

$ BCRX

Biocryst PHARMA
L'Opus-2 (Oral prophylaxie-2) essai clinique de BioCryst Pharmaceuticals Inc. (NASDAQ: BCRX) a été déroulent comme prévu en 2015, et la société prévoit d'annoncer les résultats à la fin de 2015. Opus-2 est de 12 semaines, à trois bras, parallèlement procès de conception de cohorte pour évaluer l'efficacité et l'innocuité de deux doses de BCX4161, administrés trois fois par jour, par rapport au placebo.
Environ 100 patients angio-œdème héréditaire seront inscrits aux États-Unis et d'autres pays sélectionnés. BioCryst actions étaient la dernière négociation un peu plus de 10,00 $, avec un consensus d'analystes prix cible de 16,22 $ et une fourchette de négociation de 52 semaines de 7,85 $ à 16,83 $.

$ TTPH

TETRAPHASE PHARMA
Tetraphase Pharmaceuticals, Inc. (NASDAQ: TTPH) est en train de développer son candidat antibiotique plomb pour traiter les infections bactériennes, y compris celles causées par MDR bactéries Gram-négatives. La société est à la recherche de soumettre une New Drug Application (NDA) d'ici la fin de l'année. Actions de Tetraphse ont été récemment négocient à près de 11 $, avec un consensus d'analystes prix cible de 14,60 $ et une fourchette de négociation de 52 semaines de 7,20 $ à 52,90 $.

Clôture cac40

Cours de clôture des valeurs du CAC 40


16/12/2015 | 18:33
 
                                Clôture   Variation Variation en % 
  CAC-40 Index                4.624,67     +10,27      +0,22 
 Composants de l'indice: 
  Accor                          39,22      -0,12      -0,31 
  Airbus Group                   64,39      +1,25      +1,98 
  Alcatel-Lucent                  3,51      +0,03      +0,98 
  Alstom                         27,15      -0,25      -0,93 
  ArcelorMittal                   3,51      -0,04      -1,27 
  AXA                            24,57      -0,12      -0,49 
  BNP Paribas                    52,48      +0,03      +0,06 
  Bouygues                       35,35      +0,57      +1,64 
  Capgemini                      85,21      -0,94      -1,09 
  Carrefour                      27,06      -0,04      -0,13 
  Crédit Agricole                10,48      +0,04      +0,38 
  Danone                         62,34      +0,22      +0,35 
  Electricité de France          12,89      +0,04      +0,27 
  Engie                          16,02      +0,13      +0,82 
  Essilor International         114,90       0,00       0,00 
  Kering                        155,80      -0,20      -0,13 
  LafargeHolcim                  46,09      -0,07      -0,16 
  L'Oréal                       157,95      -0,45      -0,28 
  LVMH                          148,65      +0,70      +0,47 
  L'Air Liquide                 104,55      -0,15      -0,14 
  LeGrand                        52,30      +0,02      +0,04 
  Michelin                       87,58      +0,53      +0,61 
  Orange                         15,29      -0,01      -0,07 
  Pernod Ricard                 103,80      +1,35      +1,32 
  Peugeot                        15,80      -0,03      -0,19 
  Publicis Groupe                60,00      +0,53      +0,89 
  Renault                        88,86      +0,88      +1,00 
  SAFRAN                         64,30      +0,98      +1,55 
  Compagnie de Saint-Gobain      39,31      +0,02      +0,05 
  Sanofi SA                      78,72       0,00       0,00 
  Schneider Electric             53,06      +0,06      +0,11 
  Société Générale               42,19      +0,63      +1,53 
  Solvay                         93,28      -0,02      -0,02 
  Technip                        47,00      +0,45      +0,97 
  Total                          42,08      -0,21      -0,50 
  Unibail-Rodamco               230,20      -0,15      -0,07 
  Valeo                         137,70      +1,45      +1,06 
  Veolia Environnement           21,88      +0,00      +0,02 
  Vinci                          57,94      +0,26      +0,45 
  Vivendi                        19,24      +0,08      +0,42 

Hausse des taux

Wall Street doit s'attendre à une hausse des taux pas comme les autres - Market Blog


16/12/2015 | 18:11

Par Kristen Scholer et Yann Morell y Alcover
Les phases de hausse des taux directeurs de la Réserve fédérale (Fed) américaine correspondent habituellement à une période faste pour la Bourse de New York. Cette fois pourtant, la nature poussive de la reprise économique ces dernières années et le caractère tardif du resserrement monétaire dans lequel la Fed va probablement s'engager ce mercredi suggèrent que les marchés d'actions pourraient bien réagir différemment.
Après sept ans de taux d'intérêt de court terme quasi nuls, la Fed s'apprête enfin à relever d'un quart de point de pourcentage le taux des fonds fédéraux, si l'on en croit les anticipations de la plupart des analystes et investisseurs.
En général, les hausses de taux directeurs interviennent alors que l'économie repart, que les résultats des entreprises rebondissent et que l'inflation s'accélère. Mais dans le cas présent, la première hausse de taux s'inscrit dans un contexte très particulier, que les analystes de Citigroup ont caractérisé par cinq différences fondamentales avec de précédents épisodes resserrement monétaire.
Résultats chancelants et primes de risque en hausse
Ainsi, selon eux, la Fed commence généralement à relever les taux deux à quatre ans après la fin d'une récession. Dans le cas présent, la première hausse de taux devrait intervenir plus de six ans après la fin de la contraction de l'activité.
De même, le premier relèvement des taux directeurs intervient habituellement deux à trois ans après le retournement à la hausse des résultats d'entreprises cotées. Dans le cas présent, cela fait six ans de que les bénéfices ont entamé leur rebond.
Par ailleurs, contrairement à de précédentes phases de resserrement monétaire aux Etats-Unis, de fortes divergences de trajectoire sont apparues entre les résultats d'entreprises de différentes régions du monde.
Mais ce n'est pas tout. Habituellement les hausses de taux s'inscrivent dans un contexte de primes de risque en repli sur les marchés obligataires. Or c'est l'inverse qui s'est produit ces derniers mois.
Citigroup note aussi que la hausse qui s'annonce interviendrait dans un contexte de taux d'intérêt de long terme particulièrement faibles. Actuellement, le rendement des emprunts d'Etat américains à 10 ans se situe à 2,3%. Lors de précédentes phases de relèvement, il se situait environ un point de pourcentage au-dessus, en termes ajustés de l'inflation.
Prendre des paris boursiers uniquement sur la base de considérations historiques semble plus périlleux que jamais.

MOTEURS

http://www.lematin.ch/economie/Les-moteurs-truques-font-de-nouvelles-vagues/story/21935446?utm_medium=&utm_source=Twitter&utm_campaign=&utm_term=Aut

CAC40 POURSUIT SA HAUSSE


VOLKSWAGEN

Volkswagen : Les moteurs truqués de Volkswagen font de nouvelles vagues, à Bruxelles et chez Bosch


16/12/2015 | 12:04
BERLIN (AFP) -- Le scandale des moteurs truqués de Volkswagen faisait de nouvelles vagues à Bruxelles et à Stuttgart mercredi, avec une enquête des services antifraudes de l'UE contre le constructeur, et une de la justice allemande visant son fournisseur Bosch.
L'Office européen de lutte antifraude (Olaf) a confirmé à l'AFP avoir ouvert une enquête sur Volkswagen. Le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung (SZ) avait le premier révélé cette enquête, qui porte sur l'utilisation potentiellement frauduleuse de crédits accordés par la Banque européenne d'investissement (BEI) à Volkswagen ces 25 dernières années.
Le SZ évoque 4,6 milliards d'euros de crédits européens accordés à Volkswagen depuis 1990, entre autres pour financer la recherche et le développement de moteurs propres.
Le service de communication d'Olaf a refusé de commenter l'enquête en cours et précisé que l'ouverture d'une enquête ne signifiait pas automatiquement qu'il y ait eu fraude.
Volkswagen a avoué il y a trois mois avoir équipé les moteurs diesel de 11 millions de voitures dans le monde d'un logiciel permettant de fausser les résultats des tests antipollution, un scandale qui a jeté le constructeur dans le crise et n'en finit pas de rebondir.
En Allemagne, le parquet de Stuttgart (sud-ouest) enquête autour de l'implication de l'équipementier Bosch, qui fournit à Volkswagen les solutions logicielles pour ses moteurs.
"Nous enquêtons contre X. Il s'agit d'une entreprise qui pourrait avoir fourni une assistance à un grand constructeur automobile en livrant un logiciel, et il est clair que cette personne (X) que nous ne pouvons pas encore identifier doit être dans le périmètre de cette entreprise", a indiqué à l'AFP la porte-parole du parquet.
Elle n'a pas confirmé pour des raisons de confidentialité les noms de Bosch ni de Volkswagen, mais n'a laissé guère de doute quant à l'identité des deux entreprises. Bosch, dont le nom a circulé tôt dans cette affaire mais qui a rejeté toute responsabilité et toute connaissance des faits, est basé non loin de Stuttgart.
Le parquet de Brunswick (nord) enquête lui depuis septembre, également contre X, et la nature de la procédure qui débute à Stuttgart dépendra fortement du résultat de celle de Brunswick, a précisé la porte-parole. "Mais nous ne pouvons pas attendre qu'ils aient fini", a-t-elle ajouté. Bosch n'était pas joignable dans l'immédiat.
Mercredi, des responsables de Volkswagen devaient également être entendus par la commission de la Protection des consommateurs du Bundestag, chambre basse du Parlement allemand.
Volkswagen, à qui le scandale va coûter une somme encore non chiffrée en milliards d'euros, s'apprête à rappeler à partir du 1er janvier des millions de voitures pour les remettre aux normes.