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lundi 25 mars 2019

CAC40

CAC40 : séance de convalescence quasi linéaire, IFO rebondit


25/03/2019 | 18:21

Le CAC40 (-0,18%) na cessé d'osciller ce lundi autour de 5.260 (la clôture reflète parfaitement le comportement du marché aujourd'hui), le DAX affiche le même repli, Milan -0,1%... et l'Euro-Stoxx50 en constitue le fidèle reflet avec -0,16% à 3.300,5Pts.

D'un point de vue technique, le 'coup de massue' de vendredi a fait voler en éclats le support court terme des 5.300 points, une alerte sérieuse -pas levée ce lundi- qui efface d'un coup 10 jours de progression.

Ce signal de retournement majeur se dégraderait encore davantage en cas d'enfoncement des 5230 points, l'ex-plancher du 8 mars, et une correction plus appuyée s'enclencherait sous les 5.200 points, préviennent les chartistes.
A l'image des places européennes, Wall Street peine à se remettre de l'impact de la grosse secousse de vendredi (-2% à -2,5%) mais au moins, la décrue semble enrayée.
Repli symbolique du Dow Jones (-0,1%), repli marginal du Nasdaq et du S&P500 (-0,2%), les esprits se calment un peu.
C'est plutôt rassurant après la chute de -3% de Tokyo ce matin, qui a vu le Nikkei effacer d'un coup tous ses gains depuis la mi-février.

Les opérateurs se montrent prudents avant un possible nouveau vote des parlementaires britanniques sur le Brexit dans les jours à venir... mais d'autres scénarios plus ou moins inattendus pourraient rebattre les cartes, voir complexifier encore la situation.

Dans l'idéal -auquel personne ne croit- la Chambre des communes validerait le projet d'accord trouvé par Theresa May et le Brexit serait effectif à compter du 22 mai.

'Le nouveau calendrier qui a été établi va donner à May suffisamment de temps pour un troisième vote en début de semaine', rappelle Liberum.

'Dans le cas contraire, il faudrait trouver une solution alternative d'ici au 12 avril', souligne le bureau de recherche londonien.

Douchés par les 'PMI' vendredi (indicateurs avancés d'activité), les investisseurs suivent désormais avec une attention toute particulière les données économiques 'macro'.

L'indice Ifo (institut économique basé à Munich) du climat des affaires en Allemagne a agréablement surpris avec une progression de 98,7 vers 99,6 en mars, alors que le consensus n'attendait qu'une stabilité pour le mois en cours.

Plusieurs statistiques de premier plan (PIB, consommation des ménages...) sont également attendues Outre-Atlantique... mais rien au programme ce lundi.

Les opérateurs devront également composer avec un nouveau ' round ' de négociations commerciales entre les Etats-Unis et la Chine organisé à pékin.
Côté changes, l'Euro finit peu changé à 1,1315/$, soit +0,1%, le pétrole 'Brent' grappille +0,3% à 67,3$.

Du coté des valeurs, Carrefour rechute de -2,6%, sous le support des 16,9E, Lourdeur du secteur auto : Renault lâche -2% et Peugeot -2,9%.
Victime d'un 'gros doigt' en début de séance, LVMH est repassé de -8% à l'ouverture à +1,3% à 317,7E, terminant leader du CAC40.

Sanofi (-0,5%) indique que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a publié une lettre de réponse complète (CRL) au sujet de la demande d'autorisation de nouveau médicament concernant le médicament expérimental Zynquista (sotagliflozine). Par cette communication, l'autorité sanitaire américaine signifie au géant pharmaceutique et à son partenaire Lexicon que leur dossier ne peut être approuvé en l'état.

Moody's Investors Service a fait part vendredi soir d'une dégradation de sa note d'émetteur long terme sur Valeo, passant de 'Baa2' à 'Baa3', avec toutefois une perspective relevée à 'stable' contre 'négative' précédemment.

UBS réaffirme sa recommandation 'achat' sur Rexel malgré un objectif de cours abaissé de 18 à 13,4 euros, impliquant un potentiel de progression de 27% pour le titre du groupe de distribution de matériel électrique.

Au sein du SBF-120, Vallourec ferme la marche avec une rechute d'environ -6%, après avoir rétrogradé un peu au-dessus des 2,00E.

$ FTEK

Fuel Tech, Inc. (FTEK): This provider of boiler optimization, efficiency improvement, and air pollution reduction and control solutions has a Zacks Rank #1 (Strong Buy) and witnessed the Zacks Consensus Estimate for its current year earnings increasing more than 100% over the last 60 days.

dimanche 24 mars 2019

BONJOUR A TOUTES/TOUS

Puente Nuevo (Pont Neuf) à Ronda, Espagne

Ronda est une ville merveilleuse de la région d'Andalousieau sud de l'Espagne. Construite durant des millénaires aux sommets des collines du canyon El Tajo, la ville est reliée par trois ponts, le plus récent étant le Puente Nuevo ou « Pont Neuf » à juste titre. Il a fallu 34 ans pour construire ce pont et ce dernier a été achevé la fin du 18e siècle. Des colonnes géantes, semblant avoir été sculptées dans la roche environnante, s'étendent 120 mètres au-dessus du gouffre du fleuve Guadalevín. Cela confère une ambiance mythique au paysage, convenant à un endroit inhabité depuis l'ère néolithique, puis occupé par les Celtes, les Phéniciens, les Romains, les Maures, les Wisigoths, les Espagnols et autres qui aimaient apparemment également la vue.

vendredi 22 mars 2019

BONDS EUROPE

Bonds Europe: la prudence pousse la dette allemande en territoire négatif


 
 
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22/03/2019 | 19:07

Paris (awp/afp) - Pour la première fois depuis octobre 2016, le taux d'emprunt à dix ans de l'Allemagne est passé en territoire négatif vendredi tandis que la courbe des taux américains s'est inversée, signes d'une prudence accrue des investisseurs, à défaut d'une récession imminente.

"Nous avons observé un gros mouvement sur les courbes de taux européennes" ce vendredi avec une baisse très prononcée des taux d'emprunt à long terme, a commenté auprès de l'AFP Geoffroy Lenoir, responsable des taux souverains en euros pour Aviva Investors.

Le taux d'emprunt à 10 ans de l'Allemagne a ainsi fini à -0,015% contre 0,041% jeudi à la clôture du marché secondaire, où s'échange la dette déjà émise. Celui de la France a terminé à 0,354% contre 0,403% la veille.

Et la correction a été tout aussi brutale sur les marchés actions, qui ont dévissé de 2% en moyenne à Paris et Londres tandis que la baisse était un peu moins prononcée à Berlin (-1,61%) et côté américain.

"Nous sommes dans un contexte où l'aversion au risque" est assez forte, ce qui induit "un report vers les actifs" les plus sûrs, au premier rang desquels les obligations d'Etat, a ajouté M. Lenoir.

"Nous nous rapprochons de l'échéance du Brexit et la croissance ne donne pas forcément de signe très positif", autant de facteurs négatifs qui s'ajoutent aux révisions à la baisse des perspectives conjoncturelle par la Réserve fédérale américaine (Fed) cette semaine, après celle de la Banque centrale européenne (BCE) début mars, indique encore le spécialiste.

Des inquiétudes reflétées également par le marché obligataire américain où, vers 13H50 GMT, le taux d'intérêt de la dette à trois mois (2,455%) est passé au-dessus du rendement de celle à 10 ans (2,447%), au plus bas depuis janvier 2018, une inversion considérée comme une forme d'anomalie du marché puisque, traditionnellement, plus l'investissement se fait sur une durée longue, plus le rendement servi est élevé.

"Sur la courbe américaine, le mouvement a été beaucoup plus violent que ce qu'on a vu après les annonces de la Fed", a observé Antoine Lesné, responsable stratégie et recherche de SPDR ETF (filiale de State Street Global Advisors).

Même si l'inversion de la courbe des taux a précédé de quelques trimestres la quasi-totalité des récessions américaines ces dernières décennies, "je ne pense pas que ce soit un signal immédiat qu'une récession approche", relève Justin Federer, stratégiste obligataire pour Cantor Fitzgerald.

"Seuil psychologique"

D'autant que ce phénomène "n'est pas le seul signal à surveiller". Au même titre "les demandes d'allocations chômage, l'activité manufacturière ou encore la production industrielle", il constitue "un facteur parmi d'autres" pouvant annoncer une récession, souligne Kathy Jones, responsable des produits à taux fixe pour la maison de courtage Charles Schwab.

Pour M. Lesné, ce n'est "en général pas un très bon signe en terme de cycle" économique mais "il faut voir si c'est un élément technique qui va se résorber ou quelque chose amené à durer un peu plus longtemps".

Ce mouvement de détente obligataire "assez massif", qui a vu les rendements obligataires allemands et français tomber vendredi au plus bas depuis octobre 2016, plaçant même le Bund en territoire négatif, est d'abord imputable à "des indices PMI qui ont été assez décevants, surtout sur les composantes manufacturières", pour M. Lenoir.

L'indice PMI pour le secteur manufacturier allemand s'est inscrit à 44,7 en mars, moindre qu'anticipé et surtout inférieur à 50, ce qui signifie que l'activité diminue.

Dans la zone euro, le PMI pour l'ensemble du secteur privé a reculé à 51,3 points en mars, également sous les attentes, tandis qu'il a atteint 48,7 points pour la France.

"Le glissement du rendement du Bund allemand en dessous de zéro aujourd'hui est un facteur contribuant à l'inversion de la courbe des rendements" puisqu'il "fait baisser les rendements à long terme partout dans le monde", explique Mme Jones.

"C'est toujours un seuil psychologique important de passer en dessous de zéro" mais une "bonne partie de la dette allemande est déjà en territoire négatif", relativise toutefois M. Lenoir.

Du côté des pays les moins solides de la zone euro, à l'instar de l'Italie ou de l'Espagne, les écarts de taux avec l'Allemagne et la France se sont creusés.

"Il y avait jusqu'à présent une espèce d'antinomie entre le marché obligataire et le marché actions", avance M. Lesné, or "cette différence de lecture ne peut pas durer éternellement et il y a un moment où l'un des deux doit céder".

POUR LUNDI 25/03 BOURSE DE PARIS

Les valeurs à suivre lundi 25 mars à la Bourse de Paris


 
 
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22/03/2019 | 18:21

ARGAN
L'assemblée générale mixte des actionnaires d'Argan a approuvé la distribution d'un dividende 2018 de 1,35 euro par action, avec option pour le paiement du dividende en action (sur la totalité du dividende) avec un prix de souscription de 48,54 euros. Le détachement du droit au dividende se fera le 29 mars 2019. L'option pour le paiement en actions devra s'exercer à compter du 2 avril jusqu'au 16 avril 2019 inclus. Passé ce délai, les actionnaires qui n'auront pas opté pour le paiement du dividende en action recevront leur dividende en numéraire.

ELIOR GROUP 
L’Assemblée Générale Mixte des actionnaires d’Elior Group a décidé de distribuer un dividende de 0,34 euro par action, au titre de l’exercice clos le 30 septembre 2018 et a offert aux actionnaires, sur la totalité du dividende, une option pour le paiement de ce dividende en numéraire ou en actions nouvelles. Le prix de l’action remise en paiement du dividende est fixé à 11,73 euros.

OL GROUPE
L'Olympique Lyonnais confirme que des discussions exclusives ont été engagées avec l'ASVEL SASP, pour une prise de participation minoritaire au sein du club villeurbannais de basket-ball. Cette période d'exclusivité s'étendra jusqu'au 30 juin 2019. Cette prise de participation permettrait le rapprochement de deux clubs emblématiques de la métropole lyonnaise.

PERNOD RICARD
Dans le cadre de son plan stratégique à trois ans " Transform & Accelerate ", dont l'un des 4 piliers est " Valuing People ", Pernod Ricard a lancé il y a six mois son projet de transformation RH baptisé " TransfoHRm". Son objectif, faire de la convivialité un véritable accélérateur de performance.

TRIGANO 
Le spécialiste des camping-cars publiera son chiffre d'affaires du deuxième trimestre.
 

jeudi 21 mars 2019

RECOMMANDATIONS

Les principaux changements de recommandations
 
  • Air France-KLM : MainFirst reste à sousperformance mais relève de 7,50 à 9 EUR son objectif de cours.
  • Bouygues : MainFirst passe de neutre à surperformance avec un objectif de cours relevé de 35 à 37 EUR.
  • EasyJet : MainFirst passe de sousperformance à neutre avec un objectif de cours relevé de 100 à 130 GBp.
  • G4S : Jefferies reste à l'achat avec un objectif de cours réduit de 270 à 260 GBp.
  • IAG : MainFirst passe de surperformance à neutre.
  • ING Groep : RBC passe de performance sectorielle à surperformance en visant 14,50 EUR.
  • Inmarsat : Jefferies reste à l'achat avec un objectif de cours réduit de 1000 à 890 GBp.
  • Komax : Research Partners reste à conserver mais réduit de 260 à 240 CHF son objectif de cours.
  • Korian : Berenberg reste à l'achat avec un objectif de cours relevé de 40 à 42 EUR.
  • Lufthansa : MainFirst passe de neutre à sousperformance avec un objectif de cours réduit de 21 à 18 EUR.
  • Munich Re : Jefferies espace d'acheter à conserver malgré un objectif de cours relevé de 205 à 212 EUR.
  • Ryanair : MainFirst passe de neutre à surperformance avec un objectif de cours relevé de 11 à 15 EUR.
  • SGS : Goldman Sachs passe de neutre à vendre avec un objectif de cours abaissé de 2500 à 2400 CHF.
  • Sika : AlphaValue reste à l'achat avec un objectif de cours relevé de 175 à 176 CHF.