Le courtier relève son objectif de cours à plus de 120 euros.
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Le courtier relève son objectif de cours à plus de 120 euros.
NEW YORK (awp/afp) - Les pilotes d'un Boeing 737 MAX de la compagnie American Airlines ont décidé vendredi d'arrêter en urgence pendant un vol Miami-New York un des moteurs de l'appareil en raison d'un "éventuel problème mécanique", avant de le faire atterrir sans encombre.
Le vol 2555 sur l'appareil vedette de Boeing, cloué au sol pendant près de deux ans après deux accidents mortels, est arrivé "en toute sécurité et sans incident" à l'aéroport de Newark et a roulé sans aide jusqu'à la porte prévue, a indiqué une porte-parole de la compagnie.
Il s'agissait d'un problème de pression sur l'huile du moteur ou d'un problème sur un indicateur de volume, selon cette porte-parole.
Le logiciel d'aide au pilotage MCAS, mis en cause dans les crashs de Lion Air en 2018 et d'Ethiopian Airlines en 2019, n'était pas impliqué, a-t-elle assuré.
L'appareil, en provenance de Miami, a atterri "après que les pilotes ont signalé avoir éteint en vol un des moteurs", a indiqué de son côté l'agence américaine supervisant l'aviation, la FAA, qui prévoit d'enquêter sur l'incident.
American Airlines avait été la première compagnie à réintégrer le 737 MAX dans son programme de vol, fin décembre 2020, quelques semaines après le feu vert des autorités américaines.
Ces dernières avaient exigé plusieurs modifications sur l'appareil, notamment sur le logiciel MCAS, ainsi qu'une nouvelle formation des pilotes.
Le directeur de la FAA, Steve Dickson, avait prévenu à l'époque qu'il était "inévitable" que des problèmes mécaniques ou des suspicions de problèmes surviennent à un moment et qu'un 737 MAX doive retourner à l'aéroport en cours de vol, comme c'est le cas régulièrement sur tous les modèles d'avions.
Boeing, qui a mis en place un centre d'opérations qui surveille tous les vols du 737 MAX en temps réel, a indiqué vendredi être "au courant" de l'incident sans donner plus de commentaires.
jum/vmt/cjc
Un couple irréconciliable. Inflation ou pas, l’or est boudé par les investisseurs depuis le début de l’année. Son cours recule ainsi de près de 10% depuis 1er janvier. Alors à qui la faute ? A la vigueur du billet vert ? Sûrement en partie. A la reprise économique ? Probablement pas puisque statistiquement, il n’y a aucune corrélation négative entre l’évolution de la croissance économique mondiale et des prix du métal doré. J’arrête ici les devinettes, pour comprendre le recul du prix de l’or, il faut se tourner vers l’évolution des rendements réels des actifs sans risque.
Evolution du cours de l’or en USD (échelle de gauche) et du taux réel du 10 ans US (échelle de droite) – source : Trésor Américain, World Gold Council
Il convient de garder à l’esprit que la relique barbare brille lorsque les rendements réels des actifs sans risque fléchissent et inversement. Autrement dit, plus les rendements réels sont mauvais, plus l’or est attractif, puisque, pour un même degré de liquidité, le métal doré ne délivre aucun rendement. Or, ces fameux rendements réels tendent justement à grimper pour s’établir aujourd’hui autour de 0.00% pour le 10 ans américain (voir graphique). C’est cette montée fulgurante des rendements réels des actifs sans risque qui pèse sur le cours du métal précieux. Le rendement réel du 10 ans américain est ainsi passé de -0.5% à 0.0% en seulement trois mois.
Pour espérer une meilleure conjoncture pour l’or, il faudra soit une baisse des rendements obligataires et/ou une nette hausse de l’inflation pour voir les taux réels se tasser et retourner en territoire négatif.
Joli coup de poker. L’OPEP et ses alliés se sont réunis pour aborder l’évolution de leur politique, avec à la clé, un allègement des quotas de production. Au grand étonnement des opérateurs, l’Organisation élargie a décidé de ne pas augmenter sa production. L’Arabie Saoudite va même plus loin puisque le Royaume prolongera ses coupes d’un million de barils par jour pour au moins un mois.
Clairement, les marchés ne l’avaient pas vu venir, en témoigne la nette progression des cours pétroliers, qui ont gagné hier plus de 6% pour les deux principales références, le Brent et le WTI.
Le baril de WTI tutoie son niveau d’avant crise à 66 USD – source : Zonebourse
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Nexans. Credit Suisse relève son objectif de cours de 54 à 66 euros et maintient sa recommandation à « surperformance ».
La même banque abaisse sa recommandation sur Crédit Agricole de « surperformance » à « neutre » et sur Natixis de « neutre » à « sous-performance ».
Saint-Gobain. Kepler Cheuvreux relève son objectif de cours de 39 à 46 euros.
EDF. JP Morgan augmente son cours cible et vise désormais 18,5 euros contre 15,5 euros précédemment.
Capgemini. Barclays relève son objectif de cours de 110 à 121 euros.
La même banque abaisse sa recommandation sur Atos de « surperformance » à « pondération en ligne » et revoit à la baisse son objectif de cours qui passe de 85 à 75 euros.
Rexel. Bofa Global Research relève sa recommandation « sous-performance » à « achat » ainsi que son objectif de cours de 9 à 15,5 euros.