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samedi 15 janvier 2022

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jeudi 13 janvier 2022

Avis d'analystes

 

Avis d'analystes du jour : Safran, Novartis, Esker, Zalando, Shop Apotheke, Givaudan, Equinor...

14/01/2022 | 08:52
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Séance boursière difficile hier aux Etats-Unis, où Wall Street a gommé le rebond du début de la semaine via une nouvelle purge des valeurs technologiques. Après avoir fait trois pas en avant, le Nasdaq a fait un grand pas en arrière. Les marchés ont l'air un peu déboussolés par la perspective d'un retour à un cycle de politique monétaire plus austère… tout en rêvant que tout cela soit réversible. Quelques éclairages à ce propos.

  • Equinor : Berenberg passe d'acheter à conserver en visant 245 NOK.
  • Esker : Portzamparc reste à conserver avec un objectif relevé de 290 à 300 EUR.
  • Givaudan : Stifel relève son objectif de cours de 4000 à 4200 CHF.
  • Holcim : Davy passe de surperformance à neutre.
  • Interroll : Exane BNP Paribas démarre le suivi à neutre en visant 3900 CHF.
  • Jungheinrich : Exane BNP Paribas démarre le suivi à surperformance en visant 54 EUR.
  • Kion : Exane BNP Paribas reprend le suivi à surperformance en visant 126 EUR.
  • MorphoSys : Morgan Stanley passe de surpondérer à pondération en ligne en visant 50 EUR.
  • Novartis : Morgan Stanley passe de surpondérer à pondération en ligne en visant 93 CHF.
  • Philips : HSBC passe de conserver à acheter en visant 38 EUR.
  • Safran : Berenberg reste acheteur avec un objectif abaissé de 150 à 140 EUR.
  • Shop Apotheke : Baader Helvea reste à accumuler avec un objectif réduit de 140 à 125 EUR.
  • Software AG : Goldman Sachs passe d'acheter à neutre en visant 39 EUR.
  • Stabilus : Berenberg reste à l'achat avec un objectif relevé de 78 à 84 EUR.
  • Swedish Orphan Biovitrum : SEB Equities passe de conserver à acheter en visant 240 SEK.
  • Thermador : Portzamparc passe de conserver à renforcer en visant 104 EUR.
  • VAT Group : Credit Suisse relève son objectif de cours de 270 à 321 CHF.
  • Vitesco : Morgan Stanley démarre le suivi à souspondérer en visant 40 EUR.
  • Zalando : DZ Bank passe de conserver à acheter en visant 80 EUR.

Recommandations

 

Le point sur les changements de recommandations à Paris

14/01/2022 | 08:44
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14 janvier (Reuters) - Principaux changements de recommandations et/ou d'objectifs de cours enregistrés vendredi à Paris.

* SAFRAN - Berenberg abaisse son objectif de cours à 140 euros contre 150 euros.

* SAINT-GOBAIN - Deutsche Bank relève son objectif de cours à 78 euros contre 76 euros.

* ORANGE - JP Morgan abaisse son objectif de cours à 12 euros contre 13 euros.

(Rédaction de Gdansk)

AVIS d'analystes

 

Marchés : des avis d'analystes ('mise à jour')

Marchés : des avis d'analystes ('mise à jour')
Marchés : des avis d'analystes ('mise à jour')
Crédit photo © Reuters
(Boursier.com) —

- Citi reprend le suivi d'ALD avec un avis 'acheter' et 18 euros dans le viseur.

- Barclays relève sa recommandation sur Vinci à 'surpondérer' avec un objectif ajusté de 109 à 113 euros.

- Barclays revalorise Legrand de 107 à 120 euros ('surpondérer').

- Barclays relève sa cible sur Schneider Electric de 172 à 200 euros ('surpondérer').

- Le Crédit Suisse entame le suivi de Soitec avec un conseil 'surperformer et un objectif de 304 euros.

- Morgan Stanley porte son objectif sur Remy Cointreau de 150 à 175 euros ('sous-pondérer').

- Morgan Stanley ajuste le curseur sur OVHCloud de 21,5 à 22 euros ('pondération en ligne).

- La SocGen remonte sa cible sur OVHCloud de 26 à 30 euros ('achat').

- JP Morgan rehausse son objectif sur OVHCloud de 25 à 29 euros ('surpondérer').

- Handelsbanken dégrade Nokia à 'conserver' avec 6 euros en ligne de mire.

- Bryan Garnier passe à l''achat' sur Eurofins Scientific avec 125 euros dans le viseur.

- Bryan Garnier ajuste le curseur sur Ekinops de 10 à 11 euros ('conviction à l''achat').

- Bryan Garnier remonte son objectif sur Sopra Steria de 231 à 235 euros ('achat').

- Portzamparc revalorise Ekinops de 9,2 à 9,9 euros ('achat').

- Portzamparc initie le suivi de MaaT Pharma avec une recommandation 'acheter' et un objectif de 15,3 euros

mercredi 12 janvier 2022

Avis d'analystes

 

vis d'analystes du jour : Publicis, Atos, STMicro, Eurofins, Ubisoft, Valeo, Sika, Neoen...

12/01/2022 | 08:31
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Chaque matin, retrouvez avant l'ouverture des marchés européens une sélection de recommandations d'analystes couvrant les principaux marchés du vieux continent. La liste comprend uniquement des sociétés qui ont fait l'objet d'une modification d'avis ou d'objectif de cours, ou d'un nouveau suivi. Elle est susceptible d'être mise à jour au cours de la séance. Ces informations permettent d'éclairer les mouvements de certaines actions ou le sentiment de marché sur une société.

  • Atos : J.P. Morgan réduit son objectif de cours de 42 à 36 EUR.
  • CIE Automotive : Kepler Cheuvreux passe d'acheter à conserver en visant 30 EUR.
  • Edenred : HSBC réduit son objectif de 55,25 à 48,50 EUR.
  • Eurofins : HSBC relève son objectif de cours de 76 à 84 EUR.
  • FD Technologies : Berenberg passe de conserver à vendre en visant 1600 GBp.
  • Flutter : Jefferies reste à l'achat avec un objectif réduit de 19 300 à 16 500 GBp.
  • Holcim : DZ Bank reste à l'achat avec un objectif relevé de 58 à 60 CHF.
  • Naturgy : Kepler Cheuvreux passe de conserver à alléger en visant 24 EUR.
  • Neoen : AlphaValue reste à vendre avec un objectif relevé de 27,11 à 28,60 EUR.
  • Publicis : Berenberg reste à l'achat avec un objectif relevé de 65 à 68 EUR.
  • Royal DSM : Bernstein passe de sousperformance à performance de marché en visant 188 EUR.
  • Shop Apotheke : Berenberg reste à l'achat avec un objectif réduit de 210 à 175 EUR.
  • Sika : Stifel passe d'acheter à conserver en visant 380 CHF.
  • STMicroelectronics : CFRA passe d'acheter à conserver en visant 46 EUR.
  • Telekom Austria : Jefferies reste à l'achat avec un objectif relevé de 8,49 à 8,82 EUR.
  • Tryg : HSBC passe d'acheter à conserver en visant 175 DKK.
  • Ubisoft : Berenberg reste à conserver avec un objectif réduit de 48 à 44 EUR.
  • Valeo : Exane BNP Paribas passe de sousperformance à neutre en visant 30 EUR

mardi 11 janvier 2022

ARCELOR MITTAL

 

Renfort de position sur le turbo put 4476T

11/01/2022 | 11:30
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Gérer les alertes
Opinion : Négative sous les 30.685 EUR
Objectif de cours : 29 EUR
Stop de protection: 31.5 EUR

Après le rebond de ces dernières séances, le titre ArcelorMittal revient au contact de la zone de résistance des 30.88 EUR. Cette zone de cours pourrait susciter de nouveaux dégagements et renvoyer le titre sur les 29 EUR, première zone de soutien importante, correspondant à la moyenne mobile à 20 jours.

Nous renforçons par conséquent le turbo PUT UniCredit 4476T qui cote 0.206 EUR. Le potentiel de gain est de 70% pour cette recommandation et le seuil d'invalidation théorique, fixé initialement vers 31.5 EUR, limitera le risque à 35%.

Ce produit dérivé avait été conseillé à 0.436 EUR, le 16/12/2021:
https://www.zonebourse.com/cours/certificat/TURBO-BEAR-WARRANT-ARCE-129009646/actualite-bourse/Besoin-de-souffler-37344811/

ANALYSE

 

Analyse : Les cabinets de conseil français

10/01/2022 | 10:12
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Depuis la crise, elles ont toutes le même profil boursier ! Véritables rouleaux compresseurs de la cote, les valeurs françaises des services et conseil en informatique ont bien profité de l’année 2021. Et cela aussi bien pour les petites capitalisations (Sword, Infotel) que les moyennes (Aubay, Wavestone, Neurones, SII) et les plus grosses (Capgemini, Alten). Par rouleau compresseur, les analystes Zonebourse entendent : valeurs avec de bons fondamentaux, qui évoluent dans un canal de tendance haussier présentant plusieurs corrections de faibles amplitudes, idéales pour renforcer ses positions. Parce qu’il n’existe pas de palmarès sans perdants, il convient tout de même de souligner les parcours plus difficiles de Sopra Steria et Atos, dont nous prendrons aussi le temps de parler.

Non, l’essentiel du boulot de consultant ne consiste pas à revêtir un costard sombre, à produire des pavés en PDF et à enchaîner les réunions de brainstorming dans le cloud… Ce secteur compte dans ses rangs de véritables forcenés du travail qui, à défaut de créer de la valeur, facturent leurs clients sans oublier les 0. Trêve de plaisanterie, vous l’aurez compris, l’objectif du jour est de présenter brièvement plusieurs entreprises françaises de ce secteur. Pour faire bonne mesure, vous en aurez dix.

Le business des cabinets de conseil

Les activités de ces champions de l’externalisation peuvent généralement être classées en quatre catégories, cependant la plupart des entreprises que nous allons présenter ont pour objectif d’aider leurs clients à développer, maintenir ou moderniser leurs outils digitaux (conseil en application & technologie) ou bien à résoudre des projets spécifiques et situations complexes (conseil en ingénierie). Le business plan est relativement simple : mettre à disposition d’une entreprise cliente des talents dont les compétences répondent parfaitement à ses besoins. Un schéma gagnant-gagnant, aussi bien pour le cabinet que pour le client qui n’a pas le luxe ou l’intérêt de s’offrir les services du diplômé à temps plein. En plus du conseil en applications & technologie et le conseil en ingénierie (métiers de la R&D et +) que nous venons de présenter, on retrouve le conseil en management & organisation (missions de réorganisation pour parvenir aux objectifs de la direction) ainsi que le conseil en stratégie & transformation (définir la stratégie d’entreprise pour être plus compétitif, booster la croissance ou réduire son impact environnemental par exemple). Aujourd’hui, il est assez difficile de classer des cabinets de conseil suivant ces 4 catégories tant les types d’offres auxquelles elles répondent font appel à plusieurs métiers et compétences. Cependant, petite astuce : si vous souhaitez comprendre le business d’une telle entreprise référez vous à ses offres d’emploi, vous aurez alors un échantillon de missions auxquelles le cabinet répond !

Les caractéristiques financières

La principale caractéristique financière des cabinets de conseil est le niveau très élevé des charges de personnel. Le risque le plus évident pour une entreprise de ce secteur se mesure avec le taux d’occupation de ses salariés. Il est trivial de comprendre que les talents dont dispose le cabinet doivent être un maximum de temps en opération chez le client et en plus de ça être diablement efficaces pour multiplier les missions. On retiendra d’ailleurs que les différents types de missions que nous avons présentés ne sont pas toutes facturés à l’identique. Alors qu’un conseiller en stratégie ou en ingénierie demande généralement entre 1000€ et 3000€ la journée, un développeur facturera plutôt 450 à 800€ par jour. La facturation au temps passé n’est pas non plus l’unique choix de rémunération possible et ne convient pas pour tout type de mission. La facturation à la performance, au forfait ou encore un mix des trois peuvent être plus adaptés dans certains cas.

Sachant que les entreprises présentées dans cet article ne communiquent pas (plus !) sur leur taux d’occupation, on paiera attention à la proportion des charges de personnels dans le chiffre d’affaires, qui, grossièrement, nous permet d’appréhender la valeur distribuée aux consultants par le cabinet vis-à-vis de ce qu’ils facturent. Même si l’interprétation de ce rapport est relativement simple, il convient de considérer les hypothèses qui nous permettent de tirer des conclusions de son analyse. Par exemple, le chiffre d’affaires comprend la facturation des frais administratifs qui permettent de rémunérer les fonctions supports du cabinet, autrement dit, les salariés qui ne sont pas des consultants. Deux entreprises peuvent donc avoir des structures de coût différent et la seule analyse du ratio Charges de personnel/CA ne vous permettra pas de comprendre laquelle est la plus stratégique. De la même façon, si le cabinet fait lui-même appel à des prestataires extérieurs, il est possible que le montant des charges externes dans le compte de résultat soit très significatif par rapport aux charges de personnels. Pour être plus pertinents, il conviendrait alors de retraiter ces postes et d’ajouter aux charges de personnels les frais d’intérim par exemple.

Enfin, avant de démarrer cette présentation, comprenez que la stratégie de ces groupes consiste en un mélange de croissance externe, de culture d’entreprise, de processus de recrutement avancés pour dénicher des talents et d’extension de l’éventail d'offres de services. Ensuite, les différentes sociétés peuvent se différencier par le type de clients auxquels elles s’adressent, leur orientation vers l’international, leur méthode de facturation et la gestion de leurs coûts.

SII

SII prononcé (S deux I) est un cabinet de conseil en systèmes d’information, application & technologie et de conseil en ingénierie. La quasi-totalité de son chiffre d’affaires est réalisé en Europe, en particulier en Pologne, Allemagne, France et Espagne. Ses principaux clients, AirbusThales évoluent dans le secteur de l’aéronautique, du spatial et de la défense (19.9% du CA de SII). SII propose aussi des services aux entreprises des Télécoms (15.1% du CA), aux banques et assurances (20.2% du CA) et à une multitude d’autres acteurs (Energie, retail, transport, santé…).

Son chiffre d’affaires estimé pour 2021 est de 763 M€, en croissance de 5.4% par an en moyenne depuis 2018. La marge d’EBITDA (IFRS 16) estimée pour 2021 est de 13%, juste en dessous de la moyenne du secteur à 13.3%. En 2020 l’entreprise comptait 8789 salariés. Toujours en utilisant les données du compte de résultat de cette même année, on obtient un ratio charges de personnel/ CA de 61%. L’entreprise présente une situation de trésorerie nette positive à 96,5 M€ et un PBR (valeur des capitaux propres / capitaux propres) de 4.2.

On notera que la société souhaite aller plus loin dans le secteur de l’aéronautique et du spatial en renforçant ses relations avec Dassault Systèmes et Safran. Le groupe, qui pèse 964 M€ en bourse, est aussi en mesure de répondre à des appels d'offres dans le secteur de la santé pour développer des outils de maintenance prédictive, de conseils d’utilisation ou de diagnostic plus efficace.