Articles les plus consultés

mardi 21 mars 2017

wall street

Les valeurs à suivre mardi 21 mars 2017 à Wall Street -



 
0

 
0
21/03/2017 | 13:53


ACCENTURE
Accenture a finalisé l'acquisition d'Octo Technology, un cabinet de conseil spécialisé dans la transformation digitale et le développement de logiciels. Octo fait désormais partie d’Accenture Digital, qui renforce ainsi son offre de services numériques en France.

COSTCO WHOLESALE
Costco Wholesale a annoncé la nomination de Kenneth D. Denman à son Conseil d'administration. Kenneth D. Denman, qui pointe également aux Conseils de Motorola, ShoreTel et Mitek, a été le PDG de la société Emotient qui a mis au point une reconnaissance de reconnaissance faciale permettant de prédire les émotions. Emotient a été acquis par Apple en janvier 2016.

GENERAL MILLS
Le groupe d'agroalimentaire General Mills a présenté des ventes trimestrielles inférieures aux attentes, mais a confirmé ses prévisions annuelles. Au troisième trimestre, clos fin février, son bénéfice net a baissé de 1,1% à 357,8 millions de dollars, soit 61 cents par action. Hors éléments exceptionnels, le bénéfice par action est ressorti à 72 cents, dépassant de 1 cent le consensus FactSet. Les ventes ont reculé de 5% à 3,79 milliards de dollars. Le repli est également de 5% en données organiques. Le marché espérait mieux : 3,82 milliards de dollars.

LENNAR
Le constructeur immobilier américain Lennar a présenté des comptes trimestriels meilleurs que prévu. Au premier trimestre, clos fin février, le groupe a réalisé un bénéfice net de 130,8 millions de dollars, soit 56 cents par action, contre 144,1 millions de dollars ou 63 cents par action, un an plus tôt. Hors éléments exceptionnels, le bénéfice par action est ressorti à 59 cents, soit 5 cents de mieux que le consensus Reuters. Le chiffre d'affaires a augmenté de 17% à 2,34 milliards de dollars alors que le marché visait 2,19 milliards de dollars.

MARATHON OIL
Le groupe pétrolier Marathon Oil a annoncé l'acquisition de 21 000 acres dans le bassin Permien au Nouveau Mexique pour 700 millions de dollars en numéraire auprès de Black Mountain Oil & Gas et d'autres vendeurs privés. Le président du groupe, Lee Tillman, a souligné qu'il s'agit d'un complément idéal à l'autre acquisition réalisée dans ce même bassin plus tôt dans le mois. Marathon Oil possède désormais 90 000 acres dans le bassin Permien.

MATTEL
Après plus d'un mois et demi d'analyse, Moody's a abaissé de Baa1 à Baa2 sa note de crédit sur Mattel. L'agence de notation craint que le redressement de la rentabilité du fabricant de jouets et la réduction de son endettement ne mettent plus de temps que prévu initialement à se matérialiser. Mattel a été confronté à des difficultés pendant la période critique des fêtes de Noël qui ont abouti à une baisse de sa marge sous 11%. Le groupe a donc peiné à générer du cash suffisant pour couvrir son dividende et a du accroitre son endettement pour payer ce dernier.

NEWELL BRAND
JPMorgan a opté pour une recommandation Surpondérer et un objectif de cours de 63 dollars en initiation de couverture de Newell Brands. L'analyste juge que l'évolution des bénéfices du groupe est plus liée au bon déploiement des synergies - 1,3 milliard de dollars d'économies sont prévues d'ici 2021 - que à la croissance de son activité. Newell Brands vise une croissance annuelle de long terme comprise entre 3 et 5% et JPMorgan table sur environ 3%.

PPG INDUSTRIES
PPG Industries s'intéresse encore à Akzo Nobel. Le groupe américain, éconduit en début de mois, préparerait une nouvelle offre sur le groupe de chimie et de peintures néerlandais, a révélé Bloomberg. Les détails de la nouvelle proposition ne sont pas encore connus. A Amsterdam, Akzo Nobel gagne 4,17% à 78,23 euros. Depuis l'annonce de l'intérêt de PPG Industries, Akzo Nobel affiche un gain de 21%. Le 9 mars, Akzo Nobel a rejeté une offre de rachat de son concurrent américain pour 20,9 milliards d'euros.

PRESSE
Moody's s'attend à une baisse de 7 à 10% de l'Ebitda des éditeurs de presse magazine aux Etats-Unis d'ici mi-2018. La principale raison de cette dégradation attendue des résultats du secteur, qui a incité l'agence à maintenir une perspective négative sur ces sociétés, est la baisse persistante des revenus publicitaires. Ces derniers décroissent plus vite que ne baissent les coûts des éditeurs et, surtout, ce repli n'est pas compensé par la croissance de la publicité digitale.

Aucun commentaire: