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mardi 14 mars 2017

Facebook a interdit


Facebook interdit d'utiliser des données à des fins de surveillance😉

14/03/2017 | 10:49

par David Ingram
Facebook a interdit lundi soir aux développeurs de logiciels d'utiliser la masse des données recueillies par le réseau social pour créer des outils de surveillance, mettant ainsi un terme à un processus qui avait déjà été exploité par la police américaine pour traquer des manifestants.
Les organisations de défense de la vie privée ont tancé l'an dernier Facebook, sa filiale Instagram, et son concurrent Twitter après un rapport de l'Union américaine des libertés civiles (ACLU) disant que les services de police américains avaient utilisé des données en matière de localisation et autres informations pour surveiller des manifestants à Ferguson et à Baltimore.
En réaction à ce rapport, les entreprises incriminées avaient alors interdit l'accès à leurs données à Geofeedia, le revendeur de données basé à Chicago qui a fourni les éléments à la police. Mais jusqu'ici les conditions d'utilisation de Facebook n'indiquaient pas de façon explicite l'interdiction d'un tel usage des données à l'avenir.
"Notre objectif est de rendre nos conditions d'utilisation explicite", a déclaré Rob Sherman, responsable de la protection des données personnelles chez Facebook, dans un message publié lundi sur le réseau social. Il n'était pas disponible dans l'immédiat pour un entretien.
Cette modification permettra de construire "une communauté où les gens peuvent se sentir en sécurité en faisant entendre leurs voix", a-t-il ajouté.
En 2014, la mort de Michael Brown, un jeune Noir de 18 ans, à Ferguson, dans la banlieue de St Louis, avait déclenché des émeutes et marqué le début d'un vif débat aux Etats-Unis sur les violences policières à l'encontre des minorités et, au-delà, relancé la question raciale.
Un an plus tard, c'est la ville de Baltimore, où la population noire est majoritaire, qui avait été secouée par de violentes émeutes en avril 2015 après la mort d'un homme noir, Freddie Gray, à la suite des blessures subies lors de son interpellation.

UNE DÉCISION QUI AURAIT PU ÊTRE PRISE PLUS TÔT - ACLU
Dans un courrier électronique d'octobre 2015, un employé de Geofeedia se félicitait alors d'une "grande réussite" en matière de couvertures des manifestations survenues en 2014 à Ferguson, selon le rapport de l'ACLU basé sur les documents gouvernementaux.
Les représentants de Geofeedia n'ont pas pu être joints dans l'immédiat lundi. La société a travaillé avec plus de 500 agences gouvernementales, selon l'ACLU.
Le directeur général de Geofeedia, Phil Harris, a dit en octobre que la société s'engageait à protéger la vie privée et qu'elle travaillerait à renforcer les protections des droits civils.
Les principales plates-formes de réseaux sociaux, notamment Twitter et YouTube, le service vidéo d'Alphabet (maison mère de Google), ont pris des mesures ou mis en oeuvre des conditions d'utilisation similaires à Facebook, a déclaré Nicole Ozer de l'ACLU.
Cette dernière salue l'initiative des réseaux sociaux mais estime qu'ils auraient dû mettre plus tôt un terme à un tel usage de leurs données.
Malkia Cyril, directrice du Center for Media Justice, un organisme à but non lucratif qui s'oppose à l'utilisation par le gouvernement des médias sociaux pour la surveillance de la population, juge pour sa part qu'il reste des zones d'ombre sur la manière dont les réseaux sociaux vont appliquer leurs nouvelles conditions d'utilisation.
À l'intérieur des sociétés, "y aura a-t-il une volonté, sans la pression constante des activistes, d'appliquer ces règles?" se demande-t-elle. (Claude Chendjou pour le service français, édité par Benoît Van Overstraeten)

lundi 13 mars 2017

shak shak


IPSEN

Médicaments et Healthcare Products Agence de réglementation (MHRA) au Royaume - Uni, en coordination avec quatorze autres agences européennes de régulation, a approuvé une nouvelle indication pour Décapeptyl d'Ipsen en tant que traitement adjuvant en combinaison avec le tamoxifène ou un inhibiteur de l' aromatase, du stade précoce du sein endocrinien sensible cancer chez les femmes à haut risque de récidive qui sont confirmés comme pré-ménopause après la fin de la chimiothérapie. 

Pulse biosciences


Burlingame, CA .-- (  ) - Pulse Biosciences, Inc., (Nasdaq: plse) une société de technologie médicale développant une plate - forme de traitement de tissu thérapeutique propriétaire basé sur Nano-Pulse Stimulation (NPS), accueillera son premier investisseur trimestre conférence téléphonique le 14 Mars 2017, à 13h30 PDT / 16h30 EDT. La société mettra en évidence les progrès à jour sur ses programmes cliniques NPS, le développement du système PulseTx, ainsi que de fournir une mise à jour sur les résultats et les développements financiers récents , y compris les résultats financiers pour le trimestre et l' exercice terminé le 31 Décembre, ici 2016.


wprt.to...... y a pas photo up


l'impacte d'une victoire de Marine Le Pen

Deutsche Bank : l'impact d'une victoire de Marine Le Pen sur les marchés financiers


 
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13/03/2017 | 15:08


S’il est plus probable que les Français élisent un président favorable à l’Europe à l’instar d’Emmanuel Macron ou de François Fillon, Deutsche Bank s’est intéressé à l’impact d’une victoire de Marine Le Pen sur les marchés financiers. Dans un tel cas de figure, explique la banque, la crise identitaire de la zone euro s’aggraverait avant même de savoir si la présidente pourrait organiser ou non un référendum sur la sortie de la France de la zone euro.

Si elle y parvenait, la banque anticipe une réaction "extrêmement négative" des marchés, avec une contagion aux pays de l'Europe périphérique. L'écart de taux pour le 10 ans avec l'Allemagne atteindrait 270 points de base pour la France et 520 points de base pour l'Italie. Le 10 ans allemand tomberait en terrain négatif, à -0,1%. Sur les marchés actions, le Stoxx 600 pourrait chuter de 20% par rapport aux cours actuels, la note étant datée du 9 mars. L'euro reculerait de près de 10% face au dollar.

Dans l'hypothèse où les Français répondraient non à une sortie de la zone euro, le 10 ans allemand remonterait à 0,25% et l'écart avec les obligations de même échéance de la France et de l'Italie se réduirait à respectivement 100 et 300 points de base. La baisse du Stoxx 600 par rapport aux cours actuels serait d'environ 15%.

Dans le scénario d'un vote en faveur d'une sortie de la zone euro, le 10 ans allemand tomberait à -0,5% et l'écart avec l'obligation française équivalente atteindrait environ 400 points de base. L'écart avec le 10 ans italien ressortirait à 750 points de base. Le repli du Stoxx 600 s'élèverait, lui, à 25%.

Dans le scénario privilégié par Deutsche Bank d'une victoire d'Emmanuel Macron ou de François Fillon, les analystes prévoient un écart entre les taux allemands et français à 10 ans de 40 à 50 points de base et 180 à 190 points de base pour l'Italie. Le Stoxx 600 afficherait de son côté une modeste hausse comparée à ses niveaux actuels, avec une forte surperformance des banques.

signe sa quatrième scéance de hausse


GENFIT : poursuit sa progression



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13/03/2017 | 10:07


En hausse de 0,92% à 29,49 euros, Genfit signe sa quatrième séance consécutive de hausse. Depuis le 2 mars et l'apparition de la rumeur concernant un intérêt de Novartis, le titre de la biotech française a bondi de près de 39%. Le marché juge cette rumeur crédible à plusieurs titres. En premier lieu, le PDG, Jean-François Mouney, avait lui-même, dès 2015, évoqué l'hypothèse d'une vente de son groupe pour mener à terme le développement d'Elafibranor, son traitement contre la Nash.

Par ailleurs, et contrairement aux rumeurs précédentes, c'est la première fois que le nom d'un laboratoire précis est nommé.

Or, Novartis apparaît justement comme un prédateur sérieux. Le groupe suisse est déjà impliqué dans la Nash avec 6 actifs en développement dans diverses familles thérapeutiques.

Dans une note publiée dans le sillage de la publication de cette rumeur, Oddo indiquait qu'avec Elafibranor, le suisse se doterait d'une famille qui lui manque (PPAR) mais surtout d'un des actifs les plus avancés dans le monde contre la Nash.

Elafibranor est actuellement en phase III (résultats intérimaires sur 50% des patients attendus pour fin 2018) et il n'est devancé que par OCA d'Intercept (également en phase III). De plus, Novartis collabore déjà avec des biotechs dans la Nash, notamment Conatus.

Enfin, la Nash (non-alcoholic steathepatitis) suscite l'intérêt croissant des grands laboratoires, comme en témoignent les récents deals (M&A) dans le secteur, notamment Allergan/Tobira (1,7 milliard de dollars).

Cette maladie est un dérèglement métabolique (à la manière du diabète ou de l'hypercholestérolémie) dans lequel des lipides viennent anormalement se stocker dans le foie. Selon la FDA, plus de 10% des Américains seraient touchés plus ou moins sévèrement. Les cas les plus sévères évoluent en cirrhoses et cancers.

Aucun traitement n'est disponible sur un marché qui pourrait peser plusieurs milliards. Elafiranor, qui pourrait arriver au plus tôt sur le marché en 2019, a, selon Oddo, un potentiel de 2 milliards d'euros.

Le courtier avait confirmé sa recommandation d'Achat et son objectif de cours de 46 euros sur Genfit, précisant que son objectif de cours, qui n'inclut pas de prime spéculative, offrait à l'époque encore 67% de potentiel.