Articles les plus consultés

mercredi 20 mai 2015

valeurs suivies a la clôture

Bourse de Paris : Les valeurs suivies à la clôture de la Bourse de Paris


20/05/2015 | 18:17
LA CLÔTURE DE LA BOURSE DE PARIS

Les valeurs du jour mercredi à la Bourse de Paris, qui a fini en hausse avant la publication à 20h du compte rendu de la réunion de la Réserve fédérale américaine des 28 et 29 avril.

L'indice CAC 40 a gagné 0,31% à 5.133,30 points.

* Les VALEURS TÉLÉCOMS ont animé la séance après l'annonce par Altice (+11,59%) d'une importante acquisition aux Etats-Unis, les investisseurs craignant qu'avec cette opération la holding de contrôle de NUMERICABLE-SFR (-0,05% à 55,70 euros) s'abstienne de participer pendant un certain temps à la consolidation très attendue du marché français.
BOUYGUES, maison mère de Bouygues Telecom, a perdu 0,73% à 37,92 euros et ORANGE a abandonné 0,2% à 14,835 euros. ILIAD, qui contrôle Free, a cédé 0,23% à 214,50 euros.

* Le SECTEUR IMMOBILIER européen (-1,5%) a accusé la plus forte des deux seules baisses sectorielles en Europe dans le sillage de l'allemand Deutsche Wohnen (-3,58%), pénalisé par l'annonce d'un projet d'augmentation de capital pouvant aller jusqu'à 950 millions d'euros.
UNIBAIL-RODAMCO s'est replié de 1,96% à 243,05 euros, plus forte baisse du CAC 40. KLEPIERRE a fini en repli de 1,35% à 42,825 euros et GECINA de 1,28% à 123,20 euros.

* En revanche, plus forte hausse du CAC 40, VIVENDI a pris 2,02% à 22,97 euros. Plusieurs analystes relèvent le montant élevé de liquidités détenues par le groupe de médias en spéculant sur ce que le groupe pourrait en faire à travers des acquisitions.

* ENGIE (ex-GDF Suez) a avancé de 2,0% à 18,64 euros après que Citi a relevé son conseil de "neutre" à "acheter" sur le titre, le broker soulignant la sous-performance du titre et décelant des facteurs de soutien pour la valeur.

* CARREFOUR a gagné 1,76% à 31,81 euros. Un analyste a souligné l'amélioration attendue des résultats, même si celle-ci est déjà bien intégrée dans les cours selon lui.

* Les VALEURS BANCAIRES européennes (+1,05%) ont été recherchées après l'accord conclu entre plusieurs banques et les autorités américaines, qui met un terme, selon des traders, aux incertitudes entourant ce dossier. et
BNP PARIBAS s'est octroyé 1,68% à 56,85 euros, CREDIT AGRICOLE 1,4% à 14,115 euros et SOCIETE GENERALE 0,85% à 45,03 euros.

* PSA a progressé de 1,55% à 18,36 euros. La valeur offre un bon potentiel de hausse, a jugé un stratégiste au regard de l'amélioration des résultats espérée par le marché.

* AIRBUS GROUP (+0,84% à 63,34 euros) ou encore STMICROELECTRONICS (+1,9% à 7,446 euros) ont profité du nouveau recul de l'euro, à 1,1080 dollar vers 18h, contre plus de 1,14 dollar vendredi et lundi.

* SAFRAN (+0,72% à 65,59 euros) a annoncé la cession de 5,5% du capital d'INGENICO (-1,49% à 115,50 euros) à Bpifrance Participations pour 363,6 millions d'euros dans le cadre de son désengagement du spécialiste des services de paiement.

* SAFT a encore pris 2,41% à 37,02 euros, plus forte progression du SBF 120, au lendemain d'un gain de 2,84% résultant d'un rebond de la valeur sur sa moyenne mobile à 50 jours, à 35,065 euros ce mercredi.

* De même, TECHNICOLOR a fini en hausse de 2,06% à 6,049 euros, la valeur repassant au-dessus de sa moyenne mobile à 50 jours, à 6,036 euros.

* IPSEN a grimpé de 1,39% à 51,20 euros au lendemain de l'annonce par le laboratoire pharmaceutique d'une acquisition jugée stratégique dans les tumeurs neuroendocrines.

* GENFIT a baissé de 4,01% à 38,42 euros, plus forte baisse du SBF 120. Son concurrent américain Intercept a chuté de 16% mardi, le protocole retenu pour la phase 3 de son traitement contre la NASH, une maladie du foie, ayant déçu les investisseurs.

* INNATE PHARMA (-3,13% à 14,88 euros) a enfoncé un support technique vers 15 euros sous la pression d'une ligne de tendance baissière passant entre 15,50 et 16 euros.

* IPSOS a reculé de 1,45% à 25,405 euros après que Natixis a abaissé sa recommandation sur le titre de "neutre" à "alléger", le broker soulignant notamment le bouleversement "brutal" du segment des études de marché depuis cinq ans.

Aucun commentaire: