Bourse de Paris : Croissance de 0,6% en France au premier trimestre, selon l'Insee
13/05/2015 | 07:52
L'économie française a enregistré une croissance de 0,6% au premier trimestre 2015, soit la progression la plus forte depuis le printemps 2013 (+0,7%), grâce à une forte hausse de la consommation des ménages et des stocks des entreprises, selon les premiers résultats publiés mercredi par l'Insee.
L'institut révise dans le même temps en baisse à 0,0%, contre +0,1% auparavant, la hausse du produit intérieur brut au quatrième trimestre 2014.
Et il abaisse la croissance moyenne de l'an passé à 0,2%, soit moitié moins que ses estimations précédentes. L'Insee revoit dans le même temps la séquence de croissance des années 2012 et 2013 à 0,2% pour la première et 0,7% pour la seconde, contre 0,4% et 0,3% auparavant.
Les 39 économistes interrogés par Reuters anticipaient une croissance de 0,4% pour le premier trimestre 2015, leurs prévisions allant de +0,2% à +0,6%.
La contribution de la demande intérieure finale à la croissance a été positive de 0,5 point, de même que celle de la variation des stocks à +0,5 point également. Le commerce extérieur y a en revanche contribué négativement à hauteur de 0,5 point.
Les dépenses de consommation des ménages ont progressé de 0,8% et l'investissement s'est contracté de 0,2%, même si celui des entreprises a augmenté de 0,2 point.
L'acquis de croissance pour 2015, à savoir le niveau de l'ensemble de l'année si la croissance des trois derniers trimestres était nulle, se situe à +0,7%.
L'Insee publie en parallèle une nouvelle évaluation des comptes des administrations pour 2014, qui fait apparaître un déficit public de 4,0% conforme à la précédente estimation et un ratio dette publique/PIB de 95,6%, contre 95,0% annoncé auparavant.
Par comparaison, le déficit, qui agrège les soldes des comptes de l'Etat, des collectivités locales et des administrations de sécurité sociale, représentait 4,1% de la richesse nationale fin 2013 et la dette publique 92,3% de celle-ci.
Et il abaisse la croissance moyenne de l'an passé à 0,2%, soit moitié moins que ses estimations précédentes. L'Insee revoit dans le même temps la séquence de croissance des années 2012 et 2013 à 0,2% pour la première et 0,7% pour la seconde, contre 0,4% et 0,3% auparavant.
Les 39 économistes interrogés par Reuters anticipaient une croissance de 0,4% pour le premier trimestre 2015, leurs prévisions allant de +0,2% à +0,6%.
La contribution de la demande intérieure finale à la croissance a été positive de 0,5 point, de même que celle de la variation des stocks à +0,5 point également. Le commerce extérieur y a en revanche contribué négativement à hauteur de 0,5 point.
Les dépenses de consommation des ménages ont progressé de 0,8% et l'investissement s'est contracté de 0,2%, même si celui des entreprises a augmenté de 0,2 point.
L'acquis de croissance pour 2015, à savoir le niveau de l'ensemble de l'année si la croissance des trois derniers trimestres était nulle, se situe à +0,7%.
L'Insee publie en parallèle une nouvelle évaluation des comptes des administrations pour 2014, qui fait apparaître un déficit public de 4,0% conforme à la précédente estimation et un ratio dette publique/PIB de 95,6%, contre 95,0% annoncé auparavant.
Par comparaison, le déficit, qui agrège les soldes des comptes de l'Etat, des collectivités locales et des administrations de sécurité sociale, représentait 4,1% de la richesse nationale fin 2013 et la dette publique 92,3% de celle-ci.
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